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Une rencontre qui tombe à pic ; ft Sam

Invité
Ven 19 Oct 2018, 12:40

«  La gourmandise est un vilain défaut... »

L'orée de la Forêt Interdite était calme, presque paisible, alors que les doux rayons du soleil filtraient à peine au travers des épais feuillages. Les oiseaux gazouillaient gaiement alors que les jeunes écureuils sautaient d'arbre en arbre... Quand soudain, un éclat de voix retentit, cassant brutalement cette mise en scène adorable et champêtre.

- Mais sériiiiiieusement ? C'est toi qui meurs de faim, mais c'est moi qui doit monter dans l'arbre ? Vraiment ?

Une silhouette à la stature svelte et élancée se tenait face à un espèce de tas de poils emmêlés et odorant. Une série de grognements en tout genre furent la seule réponse de la jeune femme. Syf leva les yeux aux ciels, lâchant un grognement de frustration. La gourmandise de son frère la perdrait un jour, elle en était certaine ! Cet espèce d'estomac sur pattes devait TOUJOURS repérer les ruches les plus difficiles d’accès... C'était à peine croyable. Jetant à côté d'elle les épaisses peaux qui la recouvrait, Syf se retrouva simplement vêtue d'une large chemise – totalement tâchée et odorante – ainsi que d'un simple pantalon ; après tout, les températures n'étaient pas bien hautes ces derniers temps. Si elle devait aller chercher la ruche pleine de miel en hauteur, autant ne pas traîner de poids inutiles. Se frottant un moment les mains pour se réchauffer, elle fixa une nouvelle fois son compagnon poilu.

- Arrête de me faire ce regard ! Je pourrais simplement l'faire tomber d'une flèche en plus ! Mais non, tu veux absolument pouvoir la déchiqueter toi-même, t'es insupportable.

Tournant rapidement les talons, Syf ne put pas voir la réaction de l'ours qui se laissait tomber sur le flanc, fixant la jeune femme qui s'approchait de l'arbre. S'y hissant sans aucune difficulté apparente, elle jeta un regard vers le sol, croisant le regard de l'animal.

- Mhmh, je sais, attention à la chute.

Continuant son ascension, Syf se retrouva rapidement assise sur la branche où reposait l'objet des convoitises de l'ours, s’arrêtant un moment pour admirer la vue. Que la Forêt lui avait manqué lors de ses déboires en Béryl... Et même si la région montagneuse possédait ses propres espaces verts, rien ne pouvait égaler l'ambiance régnant dans la Forêt Interdite. Soupirant avec une certaine nostalgie, Syf entreprit alors son avancée sur la branche... Quand soudain, un craquement sonore retentit.

Elle n'eut le temps que de grogner qu'elle se sentait déjà tomber. Se protégeant la tête en attendant le choc de l'impact, Syf fut des plus surprises quand ce dernier se trouva...Amorti, par une surface presque molle. Écartant brusquement les bras de son visage, elle regarda autour d'elle un instant, ses yeux se portant sur Haiko qui c'était empressé de se lever pour dévorer la ruche qui était tombée un peu plus loin, affrontant vaillamment la colonie d'insectes. Syf lâcha un nouveau grognement en baissant la tête. Si Haiko était là-bas, entrain de empiffrer, sur quoi était-elle tombée ?

Quoique. Elle se rendit soudain compte qu'il s'agissait plus d'un « qui ».
Anonymous
Invité
Invité
Samaël
Lun 19 Nov 2018, 09:38
Une rencontre qui tombe à pic
Stranger in a Strange Land

- Sam, on va l'avoir.

La main du lieutenant se posa sur son épaule, familière et chaleureuse. Le demi-elfe acceuillit avec un sourire forcé cette marque de sympathie. Cela faisait deux jours que ses hommes et lui cherchaient sans relâche l'un des contacts privilligiés d'Akim, l'un des plus importants, un pilier  en son genre, mouillé jusqu’au cou dans son trafic d’êtres humains. Mais Sam aurait dû en tenir compte mieux que personne, tout se savait à Fal. Il ne savait pas encore comment mais la nouvelle de leur intervention avait filtré et l’homme, un certain Zakaria,  avait pris quelques heures d’avance sur eux. Suffisant pour les précéder à la frontière et trouver refuge dans la forêt. Les fouilles dans le secteur n’avaient rien donné et à l’heure qu’il était, l’autre ordure devait déjà être sur le chemin de Béryl, où il trouverait sans aucun doute soutien et ressources. Mais Zakaria retournerait vite au bercail, ils finissaient tous par le faire. Ce qu’il avaient pour l’incriminer le ferait tomber lui, et d’autres avec. Pas Akim bien sûr. Akim était plus insaisissable qu’une ombre.

- Je sais, finit par acquiesser Sam. J’ai confiance, on l’aura.

Le reste des soldats haussa la tête, se fendant de quelques « Ouais c’est sûr ! » et autres « Il fera pas long feu ! ». Tous des hommes qu’il avait choisi lui-même dans l’armée impériale. Doués, motivés, compétents, il avait fini par former une équipe solide avec les années, qui variait peu. Il s’entêtait à choisir les mêmes hommes car il avait confiance en eux et connaissait leur valeur.

- On va faire une pause avant de rentrer à Fal, continua Sam, vous pouvez vous poser ici et vous occuper des chevaux, la zone n’est pas dangereuse.

Si proche de la frontière, en effet, les risques de subir des attaques de bêtes sauvages ou d’autochtones étaient proches de zéro. La forêt était encore très clairsemée à l’endroit où ils se trouvaient et  leur nombre jouait également en leur faveur. Ils pouvaient se permettre de faire une pause. Ils n’étaient pas descendus de leur cheval depuis… Les dieux seuls savaient quand. Les bêtes aussi montraient des signes de fatigue, Sam pouvait les entendre se faire de plus en plus agités. Les chiens de chasse trépignaient déjà depuis un bon moment et même Daug commençait à atteindre sérieusement ses limites. Tout le monde avait bien besoin de manger un bout et de se désaltérer. Alors que chacun commençait à sortir une partie de ses affaires pour s’installer plus confortablement et prendre soin de sa monture, Samaël se rapprocha d’un homme en particuliers, un grand blond balafré. C’était le même qui avait tenté de lui remonter moral et lui faisait office de bras droit sur cette mission comme sur la plupart des autres. En bref, Marcus. Le visage de Sam se fît plus froid et sa voix, plus dure.

- Dès qu’on sera rentrés, je veux que tu me places des espions à tous les coins de Fal. Je veux qu’on m’alerte dès qu’il posera le pied sur le moindre grain de sable.

Marcus haussa la tête, et le chevalier sût que la chose serait faite en moins de temps qu’il ne lui en fallait pour le dire.

- Bien.

Sam consentit enfin à descendre de cheval. Il avait besoin de se dégourdir les jambes.

- Je vais faire un tour, dit-il simplement.

Marcus fronça les sourcils.

- Tout seul ?

Aussitôt, un grognement se fît entendre derrière lui. Daug, grand, noir, les yeux luisants, n’aimait pas qu’on le prenne pour une quantité négligeable. Comme s’il allait laisser son humain déambuler dans la forêt sans lui… Sans Daug à ses côtés, il serait bien capable de se faire avaler tout rond par un serpent géant. Ou une tarentule. Géante. Evidemment qu’il venait…
Sam esquissa un petit sourire.

- Pas tout seul, non.

Marcus se contenta de jeter un regard plein de méfiance au grand chien. Il s’éloigna de quelques pas, en hochant la tête, le regard toujours rivé sur le dogue, juste au cas où. Sam secoua la tête et emboîta le pas à un Daug très content de son effet. Il s’enfonça un peu plus sous le couvert des feuillages verts et denses, apportant une fraicheur bienvenue. Ils n’étaient peut-être plus vraiment à Fal mais le climat n’en était pas moins chaud. Ici, le blizzard cuisant du royaume désertique se faisait humide, un peu étouffant. Sam était proche de ses hommes, mais il éprouvait le besoin d’un peu de solitude – façon de parler. Tout ce qui avait rapport, de près ou de loin, à Akim, lui mettait un coup au moral. Il allait finir par croire qu’ils ne mettraient jamais la main dessus. La criminalité se faisait plus galopante que jamais au sein de la capitale et le grand patron était introuvable, innaccessible, toujours couvert de tous. S’il tombait, tout le monde tombait avec lui, et ça, les hommes amenés à travailler avec lui le savaient bien. Akim était la clé de tout.
Sam se frotta le visage en soupirant. Quelle journée pourrie… Et quelle semaine de merde. Il n’avait plus qu’une hâte ; rentrer, prendre une bonne douche brûlante et se jeter sous sa pile de draps fraichement lavés.
Sentant son malaise, Daug vint se coller à ses jambes, lui apportant tout le soutien dont il était capable. Sam laissa sa main caresser la tête, tentant de le rassurer. Il était en colère, bien sûr, il aurait voulu coller cet enfoiré au trou et le cuisiner lui-même, mais il n’en était rien. Si seulement il avait pu agir un peu plus vite… seulement quelques heures plus tôt… mais comment cette foutue info avait-elle bien pu filtrer, hein ? Perdu dans ses sombres théories, le visage tourné vers le sol, Sam ne faisait pas vraiment attention à ce qui l’entourait. Les signaux d’alerte de Daug plus que ses aboiements le firent sortir de son mutisme… un peu trop tard. Le chevalier eut seulement le temps de lever la tête pour voir un projectile lui foncer droit dessus. Sérieusement ?
L’homme se trouva précipité au sol, applati comme une crêpe, un objet indésirable lui écrasant la poitrine.

- Putain ! Quoi encore ?! Fait chier ! Delu Arad !

Daug avait bondi sur le côté et aboyait de tout son soul. Après quelques instants, il consentit à s’approcher et à renifler. Humaine, parvint à comprendre Sam. Quoi, une humaine ? Les gens tombaient du ciel maintenant ? Et merde à la fin !
Sam se retourna tant bien que mal, se retrouvant face à face avec deux iris vertes penchées sur lui. L’humaine en question était maintenant étalée sur son torse, l’air pas plus pressée que ça de bouger. Il l’observa un instant, bouche bée, avant de secouer la tête et de se redresser sur ses coudes. Daug se remit à aboyer et le regard de Sam se posa sur un… ours ? Qui appelait l’humaine… sa sœur ? Et… Quoi ? Ses yeux s’arrondirent comme des billes.

- Vous avez un frère ours ? Mais… qu’est-ce qui se passe ici bordel ?

(c) nightgaunt
Samaël
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Plus sur le personnage
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Mer 05 Déc 2018, 21:32



C'était un homme... Syf n'avait aucun doute là-dessus. La jeune femme était restée plantée sur place, étalée de tout son long sur le torse de l'inconnu, totalement tétanisée face à la vision qui se trouvait sous elle. Cette immense masse, à la peau sombre et aux yeux vairons, aux muscles saillant et à la taille qui semblait gigantesque comparée à celle de la femme. Bon sang c'était quoi ça ? C'était vraiment un homme ? Les aboiements du chien, de plus en plus pressant la firent enfin sortir de sa tétanie alors qu'elle bondissait brusquement sur ses deux jambes, s'élançant vers l'avant pour disparaître derrière un arbre. Haiko quant à lui c'était redressé, abandonnant la ruche brisée au sol pour se diriger vers sa sœur, sentant sa détresse... Et il faut dire que les aboiements du canidé ne le mettait pas véritablement à l'aise.

- Parbleu, ma sœur, tu vas bien ?

L'ours jeta un regard marqué par l'inquiétude à l'humaine qui se cachait toujours derrière son arbre, sa poitrine se soulevant rapidement. Haiko posa alors les yeux sur l'homme au sol qui venait de jurer, l'air véritablement choqué.

- Mais voyons messire, en voilà un langage indigne d'un homme de votre rang ! Tant de grossièretés ! Tant de familiarités ! Mes pauvres oreilles, me voilà de retour en Béryl et à nouveau entouré de tout ces... Ces... Ces mécréants !
- Haiiii qu'est-ce que tu fais...

Haiko sembla alors totalement se figer, fixant le chevalier avant de se laisser tomber sur son arrière-train, posant une de ses pattes sur son torse. L'inconnu venait bien de demander à Syf si Haiko était son frère.. ? Il avait donc compris les premières paroles de l'animal ? Choqué par sa soudaine révélation, l'ours ne réagit même pas à la voix plaintive de Syf. Cette dernière se risqua donc à se pencher vers l'un des côtés du tronc qui lui servait de cachette, ne laissant dépasser qu'un seul de ses yeux verts alors qu'elle observait la scène.

- Haïko... ?

L'ours daigna enfin tourner la tête vers elle, ses pattes bougeant légèrement en l'air au rythme de ses paroles – que sa propre sœur n'entendait qu'en différents grognements et vocalismes.

- Voyons Syf sors donc de là... Regarde ; ces deux braves gens ont l'air tout à fait amicaux !

Haiko retourna alors son regard vers l'homme et son chien, l'air soudainement fermé, comme prêt à dévorer quiconque aurait osé lui dire le contraire : l'ours avait décrété que le chevalier et son fidèle compagnon étaient amicaux, point final. La prunelle verte dépassant de l'arbre se posa un moment sur l'ours alors que Syf ne bougeait pas d'un poil, son regard glissant doucement sur le chien, avant de retourner se poser sur l'homme.

Il était grand, imposant et il avait clairement l'air peu commode... C'était hors de question qu'elle sorte de derrière son arbre pour le moment.


Anonymous
Invité
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Samaël
Mer 24 Avr 2019, 14:13
Une rencontre qui tombe à pic
Stranger in a Strange Land

Sam ne savait vraiment pas ce qu'il était supposé faire. La jeune femme avait déguerpi derrière un arbre à toute allure comme si elle avait vu la Mort ivre morte secouer sa faucheuse, un ours le fixait d'un air intimidant comme une gouvernante exigeant de son protégé de bien se tenir, et Daug consentait tout juste à cesser d'aboyer comme un damné. Cette situation n'avait strictement rien d'orthodoxe ! Bien sûr, ça n'était pas la première fois que Sam entendait parler un animal, mais c'était bien là le hic... les animaux ne parlaient pas... pas vraiment. Ils avaient des pensées, des émotions très perceptibles et des instincts, mais ils ne formulaient pas vraiment de phrases construites, et encore moins aussi bien tournées. Ses échanges avec Daug étaient toujours fluides, mais jamais si... policés. Lui reprochait-il vraiment son langage grossier ? Un ours ? Dans quelle putain de dimension était-il tombé ? Mécréants ? Braves gens ? Amicaux ? QUOI ?
Tout aussi perplexe, quoique plus entreprenant, le grand chien noir s'approcha de l'énorme animal, lui tourna autour, le renifla sous toutes les coutures, méfiant mais satisfait, toutefois, de ne pas sentir chez lui une réelle trace d'hostilité. C'était toujours ça de pris.
Les yeux de Sam passaient de l'ours à la jeune femme, à peine visible derrière son tronc d'arbre. L’œil écarquillé, elle lui jetait des regards - ou au moins un demi regard - furtifs, l'air effrayé. Il n'était plus très loin de s'en vexer. Il se trouvait très présentable... la mine fatiguée, peut-être, mais pas de quoi faire fuir qui que ce soit. A choisir, il préférait penser que c'était ses cris et les aboiements de Daug qui avaient causé cette réaction. C'était tout de suite moins... dévalorisant.
Lorsqu'il eut achevé son inspection de l'ours brun, le chien s'approcha de l'humaine aux cheveux blancs, la truffe aux aguets. Si son humain n'était pas fichu d'établir le contact, il fallait bien que quelqu'un s'y colle. Abasourdi et très peu décidé à faire avancer la situation, Sam consentait tout juste à se redresser, la bouche grande ouverte, les sourcils froncés, esquissant l'ébauche d'une syllabe puis retournant à son mutisme obstiné. Exaspéré, Daug se remit à aboyer. Une fois. Deux fois. Autant de fois qu'il le fallait pour faire comprendre à son bipède qu'il avait l'air particulièrement stupide, ce qui n'était pas inhabituel chez lui, mais enfin, ça en devenait embarrassant. Sam ferma la bouche, foudroyant l'animal du regard. Il aimerait bien l'y voir ! Comme de bien entendu, c'était tout à fait impossible. Daug était un chien, il ne faisait que renifler et aboyer et grogner et dormir et le juger à longueur de journée !! Il ne l'avait pas emmené pour ça, d'accord ?!

- Bordel, c'est...

Il jeta un regard en coin au grand ours brun qui le jaugeait de toute sa stature et eut le sentiment désagréable d'être, ni plus ni moins, qu'un enfant en faute. Ce qu'il était, en toute honnêteté. L'époque où il trouvait un  interlocuteur qui le surpassait en taille devait bien remonter à ses douze ans. Par la suite, son organisme avait fait, comment dire... du zèle.

-... désolé.

Il consentit - finalement - à se relever pour de bon, debout, sur ses deux jambes, comme un bipède compétent. Il avait toujours une fille inquiète sur les bras qui jouait à cache à cache derrière un arbre et... un ours qui lui faisait la morale. Pourquoi il ne s'en allait pas, déjà ? Daug lui aboya vigoureusement dessus. Lui ne voulait pas partir, il s'amusait même beaucoup de la situation. Sam roula des yeux. Evidemment qu'il ne voulait pas partir... L'inverse l'aurait épaté. Le grand chien noir s'assit devant la jeune voltigeuse, soudain silencieux, la tête penchée sur le côté, visiblement curieux. Prudemment, Sam finit par le rejoindre, un sourire crispé au bord des lèvres.

- Je... hum... suis désolé si je vous aie fait peur. Là n'était pas mon intention lorsque j'ai... lorsque vous m'êtes tombée dessus soudainement. C'était indélicat de ma part... je suppose.

De temps à autres, il jetait des coups d’œil au grand ours, comme s'il attendait son approbation. Il avait tant de questions au sujet de cet animal... Il ne savait même pas par où commencer.

- Je suis Sam, voici Daug, dit-il en désignant du menton le grand chien noir.

Ce dernier confirma d'un aboiement enthousiaste avant de se mettre à remuer la queue. Mais quel fayot ce chien...

- Nous sommes - en effet - très amicaux. Et pardon mais...

Il se retourna vers l'ours. Il avait cru entendre la fille dire son nom, mais ce n'était qu'un murmure à peine audible. Qu'avait elle dit ? Eko ? Arrow ?

- C'est la première fois que je vois un animal... avoir une telle maîtrise de la langue humaine. A part pour les métamorphes mais... vous n'êtes pas des métamorphes, si ?

Daug lui donna un coup de museau impatient. Sam se rendait ridicule, une fois de plus. Était-ce trop demander que son humain fasse preuve d'un peu de cohérence ? Pour une fois, l'humain en question se contenta de l'ignorer royalement et se retourna vers la jeune femme, bien plus intéressant que son râleur de chien. Il lui sourit, avec plus de naturel cette fois-ci. L'ours avait mentionné son nom, et pour une fois, il n'avait pas eu à tendre l'oreille.

- Pardon, je m'emballe. Vous vous appelez Syf, c'est ça ?



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Parandar
Sam 01 Fév 2020, 13:18


Rappel

Bonjour !

Le RP est-il toujours d'actualité ? Sans réponse, il sera déplacé le 14 février dans les Archives.
Crédit à Taëva. Réalisé pour l'usage sur rpg-chevalier seulement.
Parandar
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Parandar
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