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Rencontre sous un arbre {PV Kolth}

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Sam 23 Avr 2016, 21:25
Je n'arrivais pas à dormir, ces temps-ci. Je ne savais pas pourquoi. Je décidais donc de me lever, dans ce noir terrible. J'avais tellement peur. Je ne voyais absolument rien. Je fus tomber des objets par ci, par là. Tout le monde allait être réveillé par ce boucan. Je devais faire quelque chose, m'arrêter par exemple. Mais je ne le fus pas. Je continuai à marcher pieds nues à la recherche de la porte. J'avais enfin trouver... LA porte. Néanmoins, je m'étais coupé sous le pied *voilà quand on marche pieds nues sans mettre ses souliers*. J'entendis des bruits de pas dans le couloir. Je regardais à droit et à gauche mais je percutai une grande personne. Je ne l'avais pas vu avec sa bougies à la main. Elle chuchota :

- Mademoiselle Juliet... Qu'est ce que vous faites debout en pleine nuit ? Vous avez une explication à cela ? Retournez-vous coucher...

Elle commençait à me harceler de questions. Je n'avais même pas le temps de répondre.

- C'est que... J'ai eu peur de ma phobie. J'ai caché des objets dans le noir. Je me suis coupé et maintenant je crois que je saigne un peu. Et ma seconde phobie va devenir celle de la bactérie...

Je voyais bien que la servante soupirait. Elle devait avoir honte de moi et d'être intimider par les autres. Elle me prit et me porta comme une princesse qu'on voyait avec son prince. Elle emmena vers la cuisine. J'étais angoissée par ce qu'elle allait faire. Elle l'enleva délicatement le bout de verre de pied. Elle désinfecta en élevant le sang et mis un bandage autour de mon pied.

- Tu ne dois pas t'entraîner... Je n'ai pas envie de te chercher pour enlever ton bandage, demain...

Je hochais la tête comme pour dire oui. Elle me ramena dans la chambre. Elle allait vite chercher une balayette et une pelle. Elle me fut un clin d'œil. Je lui souriais. Elle entra la bougie à la main d'un côté et une balayette/une pelle de l'autre. Elle posa la bougie sur ma table de chevet et elle commençait à balayer le sol.

- Juliet... Tu peux rentrer... J'ai fini de balayer.. Tu peux maintenant dormir tranquillement...

Je m'allongeais dans mon lit. Mes paupières se faisaient lourdes. Je finis par dormir. Le lendemain, je me réveillais. Je m'habillais, me coiffais et je cavalais dans les couloirs en n'appuyant pas sur mon pied blessé. Il n'y avait pas du monde. Ils devaient être à l'entraînement ou dans la cour. J'allais dans la cour et je m'asseyais dans un coin sous un arbre.

- Je me sens seule...
Anonymous
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Mar 26 Avr 2016, 00:16
Kolth courrait complètement nu dans les couloirs de la Tour alors qu’une servante criait son nom presque à tue-tête en espérant que quelqu’un arrête ce satané garçon. Le très peu de servantes qu’ils croisèrent durant leur course folle n’avaient bien entendu pas eu le temps d’attraper l’éclair ébène qui fuyait. Cela bien entendu ne faisait que l’encourager à poursuivre sa route vers l’extérieur. Alors que la porte se dessinait devant lui, une ombre s’interposa et lui bloqua le passage. Le jeune élève poussa un jurons (Oui oui à son âge) et s’arrêta de justesse pour éviter une collision. L’homme qui se trouvait devant lui croisant les bras un air grave au visage et attira suffisamment son attention pour que Marijane, la servante l’attrape et le ramène non sans quelques sermon vers les appartements de Leah pour lui faire subir cet interminable bain.

Une fois chose faite, elle devait le reconduire en cours au Château et ce, sans incident. Ce qui était plutôt une chose ardue pour la pauvre jeune femme qui en était à sa première journée avec le jeune Berserk, celui-ci ayant perdu son ancienne nounou qui n’avait durée qu’une semaine. Elle commençait franchement à comprendre pourquoi et comprendre aussi pourquoi Leah lui avait donné des indications sur son fils plutôt hors du commun. Elle croyait au début à un enfant turbulent, mais il était plus que ça et si quelque chose ne l’intéressait pas, il devenait un vrai petit monstre, comme pour le bain de plus tôt. Quoi qu’il en soit, elle réussit sa mission. Malgré les difficultés qu’il lui avait données pour le bain, si elle savait bien s’y prendre il n’était pas si mal. La seule chose était qu’elle se demandait si l’attacher à une laisse par moment serait quelque chose de mal vue. Elle se demandait comment les professeurs faisaient pour le tenir à carreaux alors que les cours signifiaient beaucoup de théorie tout de même.

Bref, cela n’était plus un problème lorsque le jeune Berserk traversa les murs du château. Évidemment, le seul problème fut qu’elle aurait probablement dû le reconduire à une classe ou un professeur. Elle ne connaissait pas assez Kolth encore pour trouver cela suspicieux qu’il devienne aussi docile aussi rapidement en approchant les lieux. Elle c’était simplement dit qu’ils avaient commencé la journée du mauvais pied et qu’une fois qu’on savait cerner ses besoins tout allait bien. La pauvre. Ainsi donc, elle salua le jeune élève et quitta les lieux alors qu’il entrait gentiment dans le château.

Kolth riait intérieurement. C’était trop facile de berner les adultes parfois. Étrangement, ce genre de truc ne fonctionnait jamais avec sa mère, comme si elle avait un sixième sens sur ces trucs ou quelque chose comme ça. Quoi qu’il en soit, il ne devait pas lever le nez sur une occasion aussi facile de sécher les cours et de profiter du beau temps. Il avança alors quelques pas dans les couloirs pour s’arrêter puis, se diriger vers un mur et le longer jusqu’à ce que le bout de son nez sorte par la porte. Il travailla son pouvoir du sondage de territoire en même temps. Il ne l’avait pas senti. Ni avec ses sens magiques, ni avec son nez et là, c’est yeux le lui confirmait : Elle était partie.

Sur cette heureuse conclusion, un grand sourire s’afficha sur son visage et il choisit d’en profiter pour aller voir les gens s’entraîner. Parfois il avait de la chance car il tombait sur des Chevaliers, des Chevaliers avec leurs Écuyers, des Écuyers ou des gardes, des soldats, bref, il y avait du choix alors c’était bien évident que cela l’intriguait d’autant plus. Surtout qu’il pouvait s’amuser à imiter leurs mouvements de loin. Sa avait l’air de rien, mais c’était difficile parfois de mémoriser des enchaînements. Ça, c’était bien plus intéressant que les cours ennuyant où il fallait écouter, combattre un grand ennui tout en restant immobile. C’était la mort, la mort!

Bref, il c’était placer au pied d’un arbre un bon moment pour s’amuser et les regarder faire jusqu’à ce qu’il voie au loin un professeur se promener avec une classe. Ne voulant pas prendre de chance même si ce n’étais pas sa classe, Kolth grimpa dans l’arbre pour se camouffler dans le feuillage. S’il restait immobile, il ne voyait pas pourquoi on le trouverait à moins de le chercher avec son énergie ou son odorat. C’est donc bien installer sur une branche tout de même basse pour bien voir les entraînements, qu’il aperçue une jeune fille d’environs son âge se diriger droit vers son arbre!

Cela bien entendu lui donna une idée. Pourquoi ne pas surprendre quelqu’un? Il adorait se cacher et épier silencieusement quelqu’un puis, bondir comme si c’était une proie. C’était un jeu qu’il adorait, sa et se bagarrer. Mais bon. Là, il se voyait mal juste se jeter sur une inconnue handicapée de surcroit. Pourquoi pensait-il ça? Et bien qui est ce qui n’étais pas blessé et se prenait un simple plaisir à marcher en boitant? Personne voyon! Alors elle avait visiblement un truc. De plus, la jeune fillette à la chevelure violette termina sa route directement sous son arbre, ce qui lui permettait bien entendu de très bien la voir, surtout ses cheveux.

Il se sentit finalement un peu mal de la faire sursauter alors qu’elle était déjà blessée. Surtout lorsque celle-ci mentionna le fait qu’elle se sentait seule. Kolth se mordilla la lèvre inférieure. C’était fâcheux. Elle avait l’air triste. Il n’était pas personnellement très doué pour consoler les gens. En fait, la seule personne qu’il avait consolé de toute son existence c’était sa mère et ce n’étais jamais de très gros chagrin. Enfin, c’était toujours quand elle avait peur pour lui qu’il se brise un truc, comme la fois où il c’était briser le poignet en calculant mal la hauteur d’un arbre en y sautant, ce qui c’étais terminer en un Kolth atterrissant un peu trop rapidement sur ses pieds et ses mains et un poignet qui avait décidé de tourner, comme ça, sans lui demander son avis à lui. Bref, il comprenait et était curieux de s’avoir ce qu’elle c’était fait, alors, sans trop réfléchir plus qu’il ne le fallait, il répondit assez spontanément à son commentaire, se laissant glisser de sa branche, mais y restant toujours accrocher la tête en bas, faisant en sorte qu’il était presque face à la violette.

-Mais non tu n’es pas seule! Je suis là moi! Coucou!

Fit-il de son ton enjoué et un peu excité habituel quand quelque chose l’inspirait ou l’intriguais. Sur ses paroles, il se laissa tomber en faisant une culbute pour atterrir sur ses pieds et ses mains et se redresser.

-Tu es blessé? Je tes vue boiter en t’approchant. Qu’est-ce qui tes arriver dit moi? C’est quelqu’un qui ta fais mal? Parce-que je suis peut-être pas un grand, mais je sais me battre comme eux!

Pour appuyer ses dires, il se mit à donner des coups de poing et des coups de pieds dans le vide un instant pour s’arrêter et attendre les impressions sur ses mouvements, ainsi que bien entendu les réponses à ses questions sans trop penser à se présenter.
Anonymous
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Dim 05 Juin 2016, 13:04
Je n’avais pas encore remarquer qu’il y avait un habitant dans l’arbre. Il avait la tête en bas comme les chauves-souris, c’était classe de faire comme ces animaux. bon pour ma part, je ne le ferai pas. je ne voulais pas lui mettre un vent, je lui répondis immédiatement.

- Heu… coucou…

Puis l’instant d’après il était sur le sol, sur ces deux pieds. Je ne connais pas très bien son nom même s’il met sympathique. Bien sur que je n’étais plus seule, qu’il était idiot. Comment ça, il veut ce battre mais… Mais… Personne ne m’a fait mal…

- Désolée de t'inquiéter… Mais je me suis fait mal toute seule, la nuit dernière. J’avais peur du noir et je n’avais pas à dormir à cause de cause. C’est ma faiblesse et elle me perdra. Je ne suis coupée avec un bout de verre… Je suis pitoyable. Je ne mérite pas de devenir chevalier.

J’entends des bruits de pas ce rapprocher vers nous, ça devait être la servante de la dernière fois. Elle devait être là pour mon pied. Je me retourne et je vis que c’était bien elle.

- Mademoiselle Juliet ? Comment ce porte avec pied ? Il vous fait encore mal ou ça va un peu mieux ? Tiens qui est ce charmant garçon qui vous tiens compagnie ?

Je regardais le garçon faire son entraînement puis je me tournais vers la servante.

- Il s’appelle... Heu...

Je se retourne vers le garçon et marmonne:

- C'est quoi ton nom, je ne l'ai pas retenue , désolée...

Ps: Désolée pour l'attente
Anonymous
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Mar 07 Juin 2016, 20:37
HJ:



Tout en faisant ses enchaînements avec entrain pour appuyer ses dires de plus tôt, Kolth finit par cesser un petit moment alors que la jeune élève répondait à ses questionnements. Cela lui prit un petit moment pour comprendre la grande majorité de sa phrase pour plusieurs raisons, même si encore, certains mots le dérangeaient. Était-il stupide ou cela avait sincèrement un sens qu’il ne saisissait pas? À cause de cause? Il ne comprenait pas ce que cela voulait dire. Pour le reste, il était vrai qu’il pouvait voir dans le noir et que ce n’étais pas le cas de tout le monde. Comment ont appelait ça déjà? Nyctalope? Il lui semblait que c’était bien le mot juste. Dans tous les cas, il ne voyait pas vraiment la pertinence d’expliquer qu’il avait du mal à comprendre le fait de ne pas voir dans le noir. Est-ce que c’était comme lorsqu’il mettait sa main devant ses yeux très fort? Ou est-ce qu’elle pouvait voir des ombrages? Jusqu’à quel point était-elle aveuglée dans le noir? Que de mystère.

Mais bon, il fallait passer aux choses sérieuses, comme le fait qu’elle dise ne pas mériter d’être Chevalier rien que parce-qu’elle ne voyait pas dans le noir, en gros et s’il avait bien suivi. Car après tout, il y avait plusieurs raisons visiblement à ce handicap malencontreux. Et puis se rentré un bout de verre dans le pied, ça ne devait vraiment, mais vraiment pas être amusant ça!

-Bien voyons, je ne vois pas en quoi le fait d’être pitoyable ferait en sorte que tu ne puisses pas devenir Chevalier.

Il fronça les sourcils à sa propre phrase. Ça sonnait beaucoup mieux tout à l’heure dans sa tête, que dit de vive voix. Ça sonnait comme s’il pensait que son interlocutrice était pitoyable, ce qui n’était pas du tout le cas.

-Et puis je ne crois pas que tu es pitoyable, dans tous les cas. Et dis-toi que tu es encore jeune, moi aussi. Ont à encore le temps de s’entraîner pour devenir Chevalier, mais une chose est sûre, il faut travailler fort! Là, on est élève, on apprend les choses ennuyeux et théorique. Ensuite, après, ont sera Écuyer et les choses commencerons enfin à devenir intéressante! Ont à quoi… dix ans encore devant nous pour apprendre! Laisse-toi une chance, moi je préfère ne m'en laisser aucune, mais ça c'est moi! Je ne veux pas juuuuste devenir Chevalier, je veux être LE meilleur. T'imagine, j'ai interêt à travailler, très, très, trèèèèèèès fort.

Il lui fit un petit sourire et poussa ses cheveux noirs loin de ses yeux en un bref mouvement de tête pour observer la servante qui s’approchait d’eux. Kolth la fixait sévèrement, prêt à prendre la poudre d’escampette si celle-ci était venue pour lui, mais heureusement, elle semblait venir pour Juliet. Il poussa un soupir inaudible de soulagement et repris aussitôt son sourire, bien entendu. La servante venait aussi d’ailleurs pour s’assurer que le pied de la jeune élève allait bien. Automatiquement, le jeune Berserk laissa sont regard vairons descendre sur le pied en question avec un certain intérêt, pour finir par le relevé vers Juliet lorsque celle-ci lui demanda son nom, ayant complètement ignoré ce que la servante racontais à son propos. Parce-que de toute façon le mot ‘’charmant garçon’’ ne lui convenait pas vraiment, pas lorsqu’on le connaissait un peu. Il n’avait rien de charmant. Enfin, il lui semblait bien qu’il n’y avait rien de tout ceci. Bref, heureusement qu’il avait loupé ce passage, car il serait probablement en train de se questionner sans trop réalisé que Juliet lui parlait.

-Kolth.

Fit-il avec un bref sourire.

-...Tu ne pouvais pas savoir, je crois que j’ai juste oublier de te dire mon nom quand je suis arrivé et toi c’est Juliet c’est ça?

Bien sûr, la servante avait prononcé son nom plus tôt, mais Kolth ne voulait prendre aucune chance et ce tromper. Après tout, ce serait bête qu’il lui reparle un de ses jours dans les couloirs ou peut importe où et qu’il l’appelle Juliet alors que ce n’était même pas son nom. Il aurait juste l’air d’un crétin et il n’aimait pas trop avoir l’air d’un crétin, du moins, quand ça ne l’arrangeait pas et il ne voyait pas en quoi cela pourrait être positif dans ce cas ci. Il avait déjà du mal avec les autres de son âge, ce faire en plus considéré comme un crétin n’était pas trop sa priorité, bien que cela ne lui ferait pas vraiment quelque chose en soit non plus. Il était loin d’être sensible, d’ailleurs, il semblait toujours ce foutre de tout.

Et puis, en parlant de personnes qui n’avaient pas une bonne estime de lui, Kolth pu remarquer l’expression de la servante changé lorsqu’il avait donné son nom. Elle devint un peu plus sérieuse, voire légèrement incertaine, mais sans plus. Ha ha. Sa réputation le précédait sans aucun doute parmi les travailleurs du Château ainsi que de la Tour. Elle avait sans aucun doute, à la limite, entendu un professeur, une servante, une cuisinière ou quelqu’un hurler son nom à travers les couloirs, si ce n’étais qu’elle aurait pu entendre quelqu’un se plaindre de son côté hyperactif et un peu rebelle. Ce n’était pas sa faute à lui, si tout le monde était trop lent, ou trop paresseux! D’ailleurs, il se demandait qu’elle genre d’activité Juliet puisse faire avec un seul pied. Sauter à la corde à danser? Pouvait-elle grimper avec un pied? Il se demandait si c’était possible, cela lui donnait envie d’essayer, mais il se vit violence pour rester immobile et offrir un sourire trop parfait, qui se voulait sage à la servante, pour rapporter son attention sur Juliet.

-Dis, tu vas rester comme ça encore longtemps? Tu sais, je ne comprends pas que madame la servante n’ai pas pensée à te conduire tout simplement à n’importe quel être magique capable de guérir? Moi j’essaierais bien, mais je ne suis pas très doué encore, mais c’est sûr que quelqu’un pourrait faire quelque chose pour ça au lieu que tu sois coincée à endurer ce handicap. N’est-ce pas?

Même s’il avait parlé à Juliet, il avait terminé sa phrase en se tournant vers la servante, attendant une raison valable qui justifiait que Juliet n’avait toujours pas de soins. Peut-être que cela avait été temporaire parce-que c’était la nuit aussi, mais il connaissait quelques bons guérisseur, comme sa maman Leah, sinon, il se souvenait d’une Chevalière, Miyäck. C’était elle qui avait soignée son poignet fracturer et sans trop de difficulté en plus, alors une blessure de bout de verre dans un pied, ce serait trop facile pour elle! Attendant donc la réponse, il se mit à craquer ses doigts pour se contenir du fait de ne pas bouger depuis un petit moment.
Anonymous
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