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Mettre à jour la relation ? [Pv Isidore]

Invité
Lun 09 Mai 2016, 05:44

2 ème mois, 1256

Nous étions encore en hiver, mais le printemps approchait petit à petit. Il y avait peu de temps, j'avais découvert en me trouvant dans les cieux, et en observant le monde des mortels qu'Isidore avait eu une fille avec A'élys. Surprise, j'avais de quoi l'être comme personne était au courant de sa mésaventure et de son enfant. Je n'avais pas mon mot à dire et je n'avais pas le droit de le juger. Il y avait un temps ou nous étions amoureux, mais rien ne se passait. Regrettable, mais nous ne pouvions pas revenir en arrière... Si je ne m'étais pas rendu à Esprit, je n'aurais pas fait l'erreur de coucher avec Scrucos et de me marier au fil du temps avec lui comme nous avions eu des enfants. J'avais que très peu de sentiments pour lui alors, que j'en avais beaucoup pour Isidore et pourtant, lui aussi avait une autre personne dans sa vie. Peut-être qu'à l'époque, j'aurais pu devenir sa femme et la Reine de son Royaume. Peut-être que je ne serais pas devenue "folle" et que je ne me serais pas autant sacrifié pour ma soeur... Peut-être que je ne serais pas immortelle, mais, bel et bien, vivante en tant que mortel à l'heure actuel... Je m'étais laissé mourir en quelque sorte avant d'être sauvé et cela avait été la meilleure des solutions pour moi. La facilité à la dure vie.

En attendant, je quittais mon nid douillé pour me rendre dans mon Ancien Monde et je me trouvais au niveau du château de mon vieil ami... Celui-ci devait encore m'en vouloir d'être mort et risquait de m'en vouloir après avoir découvert une chose qui n'aurait jamais dû être découvert. J'étais vêtu d'une robe blanche comme à mes habitudes et les personnes avaient étés légèrement surpris en me voyant apparaître soudainement. Une déesse que je pouvais entendre ! Non, je n'étais rien de tel. Une immortelle ? Je hochais la tête face aux dires de la personne et je me rendais au niveau des grandes portes du hall en demandant à voir le Roi Isidore ! Comme ils me connaissaient pour être déjà venus de mon vivant, ils m'indiquaient les jardins et je m'y rendais. Je ne voyais personne jusqu'à ce moment-là. Il était seul et j'avais bien de la chance pour une fois. Toujours aussi beau et cela ne faisait aucun doute... Ses enfants lui ressemblaient un peu physiquement de mon point de vue et tant mieux.

- Bien le bonjour Majesté !

Je faisais une révérence, car je lui devais le respect et même si je n'étais pas venu parler pour politique, j'étais quand même présente pour parler de choses personnels. J'avais besoin d'une bonne discussion pour mettre des choses aux clairs. Je me redressais et je croisais les bras tout en le regardant.

- Veuillez m'excuser de ne pas avoir prévenu ma présence, mais je ne viens pas parler de politique. Je viens parler d'ami en ami, si tel est le cas encore pour notre relation. Moi-même je n'en suis plus si sûr...

Je parlais franchement comme à mon habitude... Vouvoyer au départ, puis tutoyer... Ce n'était vraiment pas logique !


Dernière édition par Adrianna le Dim 31 Juil 2016, 10:24, édité 1 fois
Anonymous
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Dim 31 Juil 2016, 08:40

Il enroula ses bras autours de sa taille, parsema sa nuque blanche de baisers, suivit du bout du doigt le lacet de son corset, avec la seule envie de la libérer de cet habit sur le champs. Il ne voulait pas qu'elle parte... vraiment pas. Hevana riait, le gronda un peu, pour la forme, avant de se laisser aller contre le torse de son amant. Cinq jours, lui murmurait elle, ce n'était pas la mer à boire. Isidore enfouit son visage dans son cou, s’enivra du parfum de ses boucles brunes. Il n'avait, hélas, que trop l'habitude de ces séparations. Hevana avait ses missions pour la Tour des mages, et lui, ses visites diplomatiques. D'autres diraient qu'ils ne s'étouffaient pas, et que leurs retrouvailles n'en étaient que plus passionnelles. Malgré lui, Isidore ne pouvait s'empêcher de penser qu'il y avait peut-être là-dedans une part de vérité. A peine les enfants furent-ils assez grands pour se passer plus longtemps du jupon maternel, et quoique Nate fût encore fragile et dépendant des caresses de sa mère, qu'Hevana se permit de repartir pour des missions plus longues, qu'elle avait mises de côté pendant toute la petite enfance des garçons. Isidore comprenait. Lui-même n'aurait su se passer de ses voyages, dont la raison ne l’enchantait pas toujours, mais durant lesquels il se faisait depuis peu un devoir d'amener ses fils. Malgré tout, il resserra son étreinte autours d'Hevana, et profita d'un mouvement de sa part pour se laisser aller dans la clarté de son regard. Elle lui accorda un baiser tendre avant qu'il consente à la laisser filer. Isidore soupira, se jeta sur le matelas, les mains derrière la tête. Bien sûr, alors qu'il n'avait pas grand chose à faire de sa matinée, il fallait qu'Hevana parte sans délai pour Rubis. Il la regarda s'habiller, pensif, avant de quitter la chambre après un long baiser brûlant, lui promettant de revenir très vite. Il considérait sa relation avec la princesse d'Argent comme exemplaire. Il l'aimait, sans déraison, s'enflammait pour elle sans s'y brûler les ailes. Loin de se perdre lui-même dans quelque passion trop meurtrière, il lui semblait au contraire qu'Hevana clarifiait ses idées, y mettait bon ordre. Elle n'était pas à proprement parlé une reine comme on pouvait l'entendre, animant des dîners mondains et se pavanant au milieu de sa cour, mais il n'aurait changé la simplicité de ses mœurs pour rien au monde. Il lui semblait bien qu'Hevana complétait parfaitement son bonheur. Pourtant, il avait aimé avant elle... une fois. Le souvenir était un peu douloureux à la vérité. Était-ce seulement de l'amour ? Il se méfiait tant de ses élans sentimentaux, à l'époque, s'interdisait tellement de se laisser aller à ce genre de choses qu'il lui arrivait parfois de douter d'avoir vraiment aimé Adrianna. Quand il repensait à son sourire, pourtant...

- Bien le bonjour Majesté !

Isidore se redressa vivement. Devant les fenêtres ouvrant sur le balcon, elle se tenait là, l'air serein, aussi éblouissante qu'au premier jour. Elle fît la révérence, ce dont, se souvenait-il, il l'avait depuis longtemps dispensée. En proie au choc, il resta debout, muet et fasciné par une telle apparition, ne songeant pas même à attraper une chemise pour couvrir son torse nu. Cela faisait tant d'années... Une pointe d'amertume perça malgré lui dans sa poitrine. Il avait dû apprendre de la bouche d'un ami, soldat gradé d'Esprits, qu'Adrianna n'avait pas péri, mais s'était plutôt "élevée" au rang des dieux. Fréquemment, on lui rapportait des nouvelles de sa nouvelle vie, entre les monde mortel et divin, dont il semblait avoir définitivement écarté, pour une raison inconnue. Scrucos n'était plus là pour compliquer leurs relations, et même, Estancia était sa filleule. Pourquoi ne jamais être venue le voir jusque-là ?
Adrianna s'excusa de ne pas s'être annoncée. Elle aurait voulu avoir avec lui une discussion personnelle, amicale, si toutefois leur amitié était toujours de mise, ce dont elle doutait. Décidément...


- Notre amitié est encore au goût du jour, je crois. Après tout, aucun de nous n'y a vraiment coupé court. Pas officiellement, tout du moins, dît-il d'un ton assez froid.

C'était plus fort que lui. Cette longue absence n'était pas pour lui plaire. Isidore n'avait pas pour habitude d'être ignoré, et pour cause. D'ailleurs, que penserait Hevana, si elle revenait à l'instant chercher quelque-chose ? Il marcha un peu, soupira avant d'avouer, radouci.

-Cela me fait plaisir de te voir.

Après tout, n'était-ce pas elle qui avait exigé de lui qu'il la tutoie ? Cela n'était-il plus non plus au goût du jour ? Se postant au milieu de la pièce, il demanda finalement :


-Et donc, quel est l'objet de cette visite personnelle ?
Anonymous
Invité
Invité
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Dim 31 Juil 2016, 12:10
Notre amitié est encore au goût du jour, c'est ce qu'il pensait. Après tout, aucun de nous n'y avait vraiment coupé court ou du moins, pas officiellement que celui-ci me disait froidement. Il avait raison d'être en colère contre moi et de sous-entendre que c'était entièrement de ma faute. Je n'avais pas donné de nouvelles depuis toutes ses années alors, que j'aurais très bien pu le faire. Néanmoins, j'avais mes raisons et je comptais lui dire clairement ! C'était la raison de ma venue et pourtant, j'avais du mal à prendre la parole comme ce dernier s'approchait de moi pour me dire que ça lui faisait plaisir de me voir. Juste après, il cessait de bouger et il me demandait l'objet de ma visite.

Je souriais légèrement et je passais une main derrière ma tête. Signe que je me sentais gêner lorsque j'avais du mal à exprimer mes sentiments ou à prendre la parole comme bon me semblerait. Je me décidais de le regarder droit dans les yeux et s'il me tutoyait... Je devais en faire de même, car à l'époque ou je me trouvais être encore dans le monde commun des mortels, je lui avais clairement demandé de ne plus me vouvoyer et pour le coup, c'était ce que j'avais fait en arrivant tout à l'heure. Je me raclais la gorge et j'inspirais tout en expirant par la suite.

- Je m'excuse...

Si je pouvais pleurer, je le ferais volontiers et pourtant, je ne pouvais pas. Nous les êtres vivants aux cieux, nous étions censés être vides d'émotions même si ce n'était pas tout à fait le cas. Seulement, c'était dur de m'exprimer et je serrais mes cheveux dans ma main.

- La formation des immortels n'étaient pas évidents et entre-temps, je suis devenue l'immortel du royaume des Esprit au lieu de servir un dieu. Je gérais les affaires du royaume au côté du Roi Ethan qui n'était autre que mon beau-fils et je m'occupais de mes enfants lorsque j'en avais l'occasion. De plus, je surveillais l'avancée des ombres sur le territoire et j'allais voir les autres membres de ma famille à la moindre occasion. Surtout qu'il faut aussi se ressourcer quelque temps dans les cieux lorsque nous passons trop sur cette terre. Je devais alterner le plus que possible et aujourd'hui, j'ai pris la décision de venir te faire face comme j'arrive enfin à me faire face.

C'est vrai, la mort était la meilleure des solutions à mes yeux quand c'était arrivé. J'ai regretté durant un moment d'avoir accepté ma nouvelle et maintenant, je l'assumais pleinement. Mes yeux étaient très sérieux, mon bras se trouvait à nouveau le long de mon corps.

- Je t'aimais, mais aucun de nous à su faire face à nos sentiments et nous avons fini par être avec d'autres personnes. Tu as trouvé le bonheur et je ne pouvais rien y faire, mais est-ce que j'étais vraiment heureuse pour ma part ? Même si j'avais des sentiments pour Scrucos, ils n'étaient pas aussi forts que pour toi et je restais auprès de lui pour le bien du peuple comme ce dernier était fou dans sa tête, mais seul ma présence lui suffisait... Puis j'avais nos enfants que je chérissais fortement et c'est encore le cas aujourd'hui. Cependant, plus le temps passait et plus mon coeur devenait difficile à suivre. Je tombais dans la dépression sans que personne puisse s'en rendre compte, car je n'étais pas du genre à en parler ou le montrer. Seulement, ma soeur a été capturé et je suis parti la sauvé tout en me sacrifiant à la fin. Je souhaitais mourir, mais je ne pouvais pas non plus me permettre que cela arrive. Je me suis battu le plus que possible avec l'aide d'un dieu qui m'avait offert une arme magique comme j'étais sa prêtresse, mais à l'arrivée de ma soeur... J'ai succombé et c'est la que nous avons appris avec ma renaissance que toutes les deux étaient des maîtres-magicienne.

Je posais une main au niveau de mon coeur et je fermais les yeux. Parler franchement, c'était la meilleure chose à faire au final. Je n'avais jamais été honnête avec qui que ce soit et moi-même. Je n'avais pas à lui dire pour sa fille avec A'élys. Je n'avais pas à le savoir et je ne souhaitais pas non plus que ça dérape entre nous deux comme c'est déjà le cas actuellement.

- Je n'étais pas franche avec moi-même et je ne l'étais pas avec mon entourage du même coup. Maintenant, tu sais pourquoi ma visite n'est que maintenant... Je voulais te dire toutes ces choses du début à la fin et tu as le droit de m'en vouloir comme je t'ai fui à cause de mes sentiments. Je ne voulais pas gêner ton mariage avec Hevena et aussi pour tes enfants. Je te dis, car je sais à quel point... Tu es important à mes yeux, mais en tant qu'ami et rien de plus dorénavant.
Anonymous
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Jeu 29 Sep 2016, 14:11

- Je m'excuse...

S'excuser... C'était bien son genre. Des excuses... Cela lui suffisait-il vraiment ?
Adrianna semblait gênée. La main perdue dans ses cheveux bruns, elle avait l'air de chercher ses mots, confuse, indécise. Lui, se sentait fondre comme neige au soleil. Isidore trouvait cela injuste. Il avait toujours eu le sentiment que la jeune femme avait une emprise sur lui et c'était là précisément ce qu'il avait voulu fuir une grande partie de sa vie : l'emprise d'une femme. Avec Hevana, il trouvait que la situation était sous contrôle. Tout était clair entre eux, limpide même ! Chacun d'entre eux savait bien à quoi s'en tenir vis-à-vis de l'autre et ils menaient leur couple le plus sereinement du monde, en toute connaissance de cause. Mais Adrianna... A quoi s'en tenir vis-à-vis d'Adrianna ? Il l'ignorait encore.
Tirant nerveusement sur ses cheveux - étaient-ils même réels, ces cheveux ? -, Adrianna lui conta sa vie dans les Cieux, les peines que lui donnaient son nouveau rôle d'immortel, combien elle était occupée et combien elle ne savait vraiment plus ou donner de la tête. Soit. Cependant, si comme elle le prétendait, elle trouvait le temps de visiter sa famille, pourquoi ne pas en faire de même pour lui ? C'était une pensée qu'il aurait pu qualifiée d'égoïste, et qui ne lui ressemblait pas. Quelque-part, cela l'agaçait. Cela l'agaçait vraiment.
Soudain, la sentence tomba. Amoureuse. Elle était, ou plutôt, avait été, dans un passé relativement lointain, amoureuse de lui. Enfiler une chemise était bien la dernière chose qu'Isidore avait en tête à l'instant. Il ne savait pas quoi dire. A vrai dire, il ne savait même pas quoi penser. Il continuait d'écouter Adrianna, immobile et muet. Elle était restée avec Scrucos pour ses enfants, pour protéger le peuple de sa folie, parce qu'elle lui suffisait, que sa présence l’apaisait, cependant qu'elle le préférait, lui. Lui qui à l'époque, déjà, était épris d'une autre. Son cœur était devenu incompréhensible, comme un ramassis d'écritures trop serrées, trop nombreuses pour être seulement déchiffrées. Puis son esprit avait sombré, sans que personne n'en sache rien. Personne, non. Isidore comprenait qu'il était trop occupé ailleurs pour l'avoir remarqué. Il ne savait pas qui de la tristesse ou du remord prenait le pas dans son être, ébranlé. Mais Adrianna continuait, sans lui laisser de répit. Elle s'était sacrifiée pour sa sœur ; un dieu l'avait prise sous son aile. L'elfe ferma les yeux, le poing fermé contre son cœur.  Elle n'avait pas fini de parler. Elle s'était menti à elle-même, avait menti à son entourage. Si elle était revenue le voir si tardivement, c'est qu'elle n'aurait pas voulu que ses sentiments entachent son bonheur avec Hevana. Oh, bien sûr, lui en vouloir serait légitime. Mais elle devait lui raconter tout cela, elle devait se soulager de ce fardeau à présent qu'elle le pouvait. A présent qu'il n'était plus qu'un ami.
Un ami... oui, officiellement, c'était ce qu'il avait toujours été. Sans doute était-ce mieux ainsi. Sans doute qu'un "nous" ne devait pas advenir. Pas pour eux deux. Isidore jeta un bref regard sur le lit. L'emprunte d'Hevana était encore sur l'oreiller. La question ne se posait plus aujourd’hui. Il aimait Hevana. Ils avaient deux garçons, amenés à faire de grandes choses. Sa vie n'était pas parfaite, ça non, mais elle était modèle ; elle ressemblait en tous points à un idéal, qu'il avait su atteindre à force d'efforts. Adrianna y avait sa place, en tant qu'amie, tout comme Jiyan y avait sa place. Dans l'ombre, à défaut de pouvoir lui offrir plus, ce qu'il aurait voulu. Mais Adrianna, bien sûr, pouvait se montrer au grand jour. Leur relation était exemplaire. Et puisqu'elle ne le voyait plus que comme un ami... L’ambiguïté de ses sentiments n'avait, après tout, jamais été un obstacle à leur entente harmonieuse. Pourquoi cela changerait-il ?

- J'ignorais que...

Allons, voilà qu'il s'interrompait, à présent. Cela ne lui arrivait, pour ainsi dire, jamais. Il devait se reprendre, et vite. Autant s'éloigner de la pente glissante.

- Je ne t'en veux pas, j'étais simplement...

Peiné ? Triste ? Touché ?

- Tu me manquais, voilà tout.

Sa voix avait quelque-chose de mélancolique, et à la fois de trop lisse. Comme s'il cherchait à mettre tous ses sentiments à plat, à les neutraliser. Ce n'était pas faux, c'était simplement la version qui lui semblait la plus présentable. Il était diplomate... Il ne faisait que ça, se rendre présentable.

- Je comprend tes raisons, elles sont tout à fait louables. Et tout ce que je puis souhaiter, c'est que notre amitié soit demeurée aussi solide qu'auparavant.

Des platitudes, tout cela, ni plus ni moins que des platitudes. Et que rajouter, pourtant ? Une chemise, pour commencer. Isidore était toujours torse nu.

- Hum... Je devrais... mettre quelque-chose.

Il attrapa une tunique blanche de toute simplicité et l'enfila.
En théorie, il était en présence amie, il pouvait se détendre et baisser la garde. Ouais... Il avait toujours été plus doué pour la pratique.

- Alors si je comprend bien, tout va bien maintenant. C'est le cas ? Ton nouveau rôle a dû te faire rencontrer beaucoup de gens... intéressants.
Anonymous
Invité
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Parandar
Sam 09 Sep 2017, 21:11
Bonjour !

Le RP est-il toujours d'actualité ? Sans réponse, il sera déplacé le 18 septembre dans les Archives.
Parandar
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Parandar
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