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The world is on a bad acid trip. Worse than Wonderland. [PV]

Invité
Lun 13 Juin 2016, 02:12
«Déchirer les livres comme une folle déchire sont manteau,
Puis sa robe, puis sa peau.
Puis sa chair, puis ses os et la nuit dans ses os.
Regardant sous ses ongles si le mal n'y est pas.
La noirceur, la terre qui la ronge.»



Le temps avait passé, mais Alyss était resté figée quelque part en chemin. Il lui aurait été impossible de savoir où elle était physiquement, ni depuis combien de temps elle était restée comateuse, ici, à la Tour. Peut-être que tout ceci n’avait duré que l’espace de quelques clignements de paupières. Oui, non. C’était une bonne question, quoi que ce fût une question qu’elle n’était pas en mesure de ce posé, puisqu’elle était là, immobile, les paupières clauses dans de draps blancs. On dirait qu’elle dormait paisiblement, mais pourtant, quelques soubresauts par moment trahissaient ce tourbillon infernal à l’intérieur d’elle. La vie et la folie ou la mort? Elle se croyait peut-être encore dans cette cabane de bois. Oui, par moment c’était ça. D’autres fois, elle se sentait tomber, tirer, engloutir. Sans compter cette douleur qui bien qu’elle n’était plus physique, était là. Son corps avait été magiquement guérit depuis et ce, par les meilleurs guérisseurs possible.

Alyss n’étais pas là. Elle était ailleurs et ce qui c’étais produit entre le soir des attributions, dans cette cabane et le moment présent lui était complètement inconnu. Comment c’était-elle rendu ici? Comment s’en était-elle sortie vivante? Cela n’avait pas existé, pas encore. Elle était là-bas. Tout lui revenait en boucle lorsqu’elle semblait vouloir émerger de son profond sommeil. La douleur, la peur, Lui… Alors elle se réfugiait de nouveau dans un coin de son esprit, où on prenait un malin plaisir à l’écorchée d’avantage, à s’assurer qu’elle soit bien engloutie dans cette folie qui était sienne et ce, depuis des années pourtant. À s’assurer que plus jamais elle ne soit en mesure de mettre ce magnifique cadeau de son père de côté. À être une parfaite petite marionnette. Comme il se devait. Au nom du Dieu de la Folie et de la Discorde, Edwing.

Elle était dans une pièce de grandeur moyenne, sobrement décorée, blanche. Il y avait une fenêtre et des fleurs, mais elle ne les appréciait pas encore. Elle n’était pas encore là. Les rares fois où elle émergeait des méandres de son esprit, ont se jetait sur elle. Il fallait avouer que ses réveils n’étaient pas vraiment de tout repos, mais elle était incapable de s’en souvenir, incapable d’être réellement consciente. Son corps ne faisait que réagir instinctivement, faire taire ses voix qui l’agrippait, voulant repousser tout ce qui se trouvait autour d’elle, chaises et personnes inclus et ce, sans la moindre distinction. À chaque fois, c’était l’explosion. Elle se débattait et hurlait. Ses pouvoirs s’en prenaient aux gens autour d’elle. Elle était violente. Violente envers les autres et même envers elle. Cela ne ressemblait pas du tout à la Alyss souriante et délicate que tout le monde connaissait. Son corps luttait contre l’aide apporté, persuadé qu’on lui voulait du mal, prisonnière quelque part là-bas. Impossible de revenir à la réalité, de reconnaître les visages inquiets qui l’entouraient puisqu’il était là. Elle pouvait le sentir. Il était partout. Il était dans son esprit surtout. Quant aux voix, elles ne cessaient pas. Elles ne se taisaient pas. Jamais. Elle voulait seulement se reposer, mais c’était impossible. Son corps était inerte et pourtant intérieurement c’était le chaos total. Elle voulait partir, disparaitre, mais aucun recoin de son esprit ne la laissait tranquille. Ont la trouvait, ont la tirait de force et on s’amusait avec elle. Elle était épuisée. Même si elle dormait depuis déjà plusieurs semaines.

Cela prit donc un petit moment pour que Takeshi puisse la rendre docile. Cela aurait pu prendre bien moins de temps si personne n’aurait tenté d’intervenir juste au moment où il allait y arriver. Alyss leur appartenait. Après tout, c’était grossièrement graver sur son ventre à jamais. C’était la seule blessure qu’il fut impossible de soigné sur sa personne. Elle avait été créée avec une arme magique et elle était là pour rester peu importe la magie utilisé pour tenter de l’effacer. Pour qu’elle se souvienne à qui elle devait obéissance. Pour qu’elle se souvienne aussi de ses origines, au cas où elle pensait oser les mettre de côté. Alyss aurait droit dorénavant à ces plusieurs facettes de la folie de manière plus persistantes. Entendre seulement des voix n’étais pas assez amusant. La rendre instable c’était bien plus amusant, mais il fallait tout de même y aller subtilement, puisque le but premier était d’amusé Edwing et celui-ci avait été clair quant à ce qu’il attendait de la jeune rosette. Puisqu’elle n’avait pas voulu obéir et qu’elle ne voudrait sans doute pas le faire, la brisé était une bonne chose, de toute façon, c’était facile. Elle était si fragile. C’était d’Alyss que l’on parlait. Cette gamine qui apprenait la définition adéquate du mot obéissance. S’amuser à se mêler à ces voix, s’amuser à ne plus lui permettre de faire le tri entre ses propres pensée et ses propres désirs, c’était intéressant aussi. Cela ferait d’elle une excellente marionnette. Elle sèmerait la zizanie à Émeraude et elle divertirait Edwing qu’elle le veuille ou non, comme celui-ci l’avait exigé. Elle n’aurait d’autre choix que de cédé. Comme ils avaient tous fait. Comme Minato l’avait fait.

***


Lentement, elle refaisait surface. Cette fois, elle ouvrit les yeux calmement. Elle avait cette étrange impression de s’être tout simplement endormie trop longtemps. Elle fronça même les sourcils, car elle ne comprit pas vraiment pourquoi elle ne se trouvait pas dans sa chambre à la ferme. Elle se souvint ensuite qu’elle était devenue Écuyère. Lentement, la suite des évènements vint la prendre d’assaut et la panique se mis à la gagnée alors qu’elle respirait de plus en plus rapidement tout en jetant des regards nerveux autour d’elle. Il faisait jour à l’extérieur et elle pouvait aisément le remarquer étant donné la grande luminosité qui entrais dans la pièce. Elle réalisa malgré la panique qui montais en elle à mesure que les souvenir frappait sont esprit qu’elle avait refermé vivement ses doigts dans quelque chose de doux, alors qu’un ronronnement s’élevait jusqu’à ses oreilles. Azrili?

Elle baissa le regard vers un Puma étendu à côté d’elle, sa tête reposant sur son bassin, visiblement endormie. Les larmes coulaient silencieusement sur ses joues alors qu’elle tentait de prononcer un mot, n’importe lequel, mais rien ne sortais, sa gorge restait noué. Elle ferma les yeux vivement, ce qui accentua la chute de ce flot de larmes incontrôlable et retourna dans les méandres de son esprit sans s’en apercevoir.

***


Combien de temps c’était écoulé encore une fois? Sans doute quelques jours. Alyss avait fait quelques apparitions brèves depuis. Elle ne se souvenait d’aucune en tant que tel, mais pourtant, elle avait un vague souvenir des visages qu’elle avait aperçue, mais à chaque fois, c’était sensiblement la même chose. Soit elle se réveillait en pleurs, soit elle se réveillait brutalement. Dans tous les cas, la majorité de son entourage y avait eu droit. La jeune Écuyère posait toujours les mêmes questions, sensiblement dans le même ordre de priorité ou dans la façon d’ont ses souvenirs revenaient.

Cette fois, elle ouvrit les yeux vivement, légèrement en sursautant. Si quelqu’un avait été en train de la regarder, sans doute cette personne aurait sursauté. Certaines servantes semblaient mal à l’aise de venir dans sa chambre, car la jeune adolescente, malgré ses airs angélique, avait tout de même des réactions inquiétantes et imprévisibles. Cette fois, sont regard parcouru de nouveau la pièce, calmement. Cette fois, Alyss était consciente de son environnement et se souvenait qu’elle était ici, à la Tour. Elle commença sa ronde visuelle sur le petit fauteuil où généralement, se trouvait quelqu’un qui veillait à son chevet. Là, personne. Le soleil semblait vouloir bientôt se lever, ou bientôt se coucher. Un petit plateau reposait sur une petite table à porter de main, où se trouvait de jolies fleurs dans un vase, apportant une odeur ambiante agréable et apaisante. La jeune Écuyère se redressa dans son lit pour en avisé le contenu. Malgré le très peu de nutriments consommé depuis des semaines et les couleurs attrayantes des fruits sur son pain doré, la vue de la nourriture lui donna légèrement la nausée et elle choisit de repoussé vivement le plateau plus loin.

Ce geste provoqua une riposte bruyante de son estomac que la jeune maître-magicienne choisi de calmer en y déposant vivement la main. Ce geste simple lui rappela tel un coup de fouet l’horrible phrase sur cette partie de son anatomie qui n’avait sue disparaître et qui était encore en guérison, douloureuse. Elle pouvait la sentir à travers cette fine chemise de nuit blanche qu’elle portait. Aussitôt, elle se remit à trembler. Le simple fait de repensée à son père, ce qui la ramenait inévitablement à ce moment désagréable la mettais dans tous ses états. C’était plutôt comprenable. La jeune rosette avait reçu un violent coup de poing de vérité la concernant et cette rencontre l’avait traumatisé au plus haut point. Bien qu’elle n’en garde presque plus aucune séquelle physique, les séquelles mentales étaient grave et personne non, personne ne pouvait être en mesure d’en calculé la gravité.

Tout en laissant échapper un léger gémissement, Alyss avait repoussé ses draps et avait choisi d’opter pour une position assise dans son lit. Ses pieds ne touchaient pas le sol et elle dû prendre quelques minutes pour s’habituer à ce changement de position qui lui offrit un magnifique tournis. Elle était visiblement faible et ce n’était peut-être pas la meilleure des idées de ce lever, mais elle devait le faire. S’aidant du matelas, elle finit par poser les pieds sur le sol frais et risqua quelques pas vers la fenêtre où elle s’y accrocha, toujours tremblante. Contrairement à son habitude, son regard ne s’attarda aucunement dehors. Elle baissa un instant les yeux pour y avisé les environs plutôt vide et se tourna de nouveau vers sa chambre, faisant dos à la fenêtre. Elle y repéra un miroir sur le mur opposé et y fixa son reflet lointain. Elle n’avait pas besoin de ce voir de prêt pour deviner qu’elle avait mauvaise mine.

Faisant quelques pas pour s’y rapprocher tout en tapant légèrement sa chevelure rosé qui était resté légèrement en bataille, trahissant son sommeil tourmenté, elle s’arrêta à quelques pas de cette glace, inclinant légèrement la tête en se fixant, le regard semi-absent, visiblement songeuse et hésitante. Elle se regardait sans réellement ce voir, fixant une seule partie de son anatomie avec appréhension. Puis, après un certain moment, elle roula doucement sa chemise de nuit pour la lever jusqu’au bas de sa poitrine, dévoilant donc le contenu gravé grossièrement sur son estomac, donnant plusieurs cicatrices affreuses et encore rouge et douloureuses. On pouvait sans trop de mal y lire ce qui y avait été gravé.

« J’appartiens à mon père l’Immortel Takeshi et son père et Dieu Edwing Maître de la folie. »

À la vue de cette phrase, Alyss sentie ses jambes faiblir et s’effondra tout simplement tel un petit château de carte, tout en se repliant violement afin de laissé son estomac ce vider de son contenu douloureusement alors que seule de la bile en sortie. Toujours tremblante et les yeux ruisselant de larme sous les souvenirs et la vue de cette grossièreté et les efforts vain de son corps à expulsé le vide, la jeune Écuyère sembla être prise d’une illumination quelconque alors que ses yeux s’agrandirent et qu’elle avisa rapidement la petite table prêt de son lit où reposait un repas qu’on était venu lui porté. Le temps pressait. Oui, elle devait faire vite. Vite car elle ne voulait pas qu’on l’en empêche, peu importe qui.

Elle se releva donc, ignorant ses tremblements et avisa le plateau avec satisfaction pour y prendre le couteau qui aurait servi à couper son pain. Elle s’assit et remonta prestement de nouveau sa chemise de nuit. Elle resta ainsi un moment, tremblante, tenant fermement, mais sans doute maladroitement le couteau entre ses mains. Si cette fichu cicatrice ne pouvait disparaître, alors elle s’en occuperait elle-même et valait mieux le faire maintenant, qu’une fois celle-ci complètement guérit. Elle ne pouvait supporter de la garder une seconde de plus dans sa chair, ni s’imaginer quelconque y poser de nouveau les yeux. Elle finit par réussir à appuyer la lame contre son ventre et ferma vivement les yeux.

-Je savais que tu allais te dégonflé. Chut. J’ai simplement besoin de quelques secondes de plus… Juste. Tu essais de convaincre qui? dépose ce couteau tu es ridicule. En plus tu risques d’attirer de nouveau sa colère. C’est peut-être ça qu’il veut? C'est une bonne question. Il t'a dis un truc? Non pourquoi, et toi? Si? Tu en pense quoi? Et toi? Moi? Fermez là. Je m'en fiche. Oooohhh écoutez la rebelle. En tout cas, moi, je n’ai pas envie d’avoir mal. La ferme. Non toi la ferme. Besoin d'un coup de main? Non, d'un coup de couteau.

Alyss ricana un moment sans même s'en apercevoir. C'était-elle de toute façon rendu compte qu'elle parlait tout haut? Quoi qu'il en soit, elle cessa d'un seul coup et poussa un soupir bruyant pour ouvrir les yeux, puis, déposa fermement une main non loin de la lame pour bien tenir la peau de son estomac et inspira nerveusement. Elle devait le faire, elle devait se dépêcher, elle ne savait pas quand ont reviendrait à sa chambre et elle ne voulait surtout pas qu’on l’en empêche comme la dernière fois. C’est sans doute surtout cette crainte qui étrangement lui donna le courage nécessaire de faire quelque chose totalement contre nature. La nature des vivant n’était-elle pas d’évité à tout prix la douleur? N’étais-ce pas le premier instinct de tout être vivant? Elle se mis à se balancer davant en arrière sans s'en apercevoir.

-Il était une fois, un couteau qui avait envie de découper autre chose que des fruits et du pain... Va s'y. Ont est avec toi. Va s'y va s'y va s'y. Tu pèse et tu coupe, tu pèse et tu coupe! C'est pas sorcier. Dépêche toi, tu sais ce qu'ils vont te faire s'ils te surprennent comme ça! Vite! Va s'y va s'y va s'y...

Puis, finalement, Alyss cessa de se balancer et entreprit de découper sa chair silencieusement. Rapidement, sa vue s’embrouillait sous ses larmes qui ne tardèrent pas à couler et sa peau se recouvrait de sang, l’empêchant de savoir exactement si elle découpait suffisamment sa chair pour en faire disparaître les écritures, mais, étrangement envahis par une poussé quelconque, que ce soit de l’adrénaline ou de la folie, elle se mit à découper et découper, jusqu’à s’en arracher des lambeaux, mais rapidement dû à son état précaire et la grande quantité de sang qu’elle perdait, sa tête se mis à tourner. Elle se laissa donc glisser en bas du lit, alors que l’atterrissage fut plutôt tout de même brutal. Avec le couteau toujours dans sa main et le dos adossé contre son lit, elle continuait frénétiquement de découper et déchirer le plus possible sa peau. Aveuglé par le sang qui coulait, elle voulait s’assurer de ne plus jamais avoir à s’infliger de nouveau cette douleur. Les voix dans son esprit la berçait gentiment et l'encourageait à continuer, parce-que c'étais bientôt terminer. Alors qu’elle gémissait avec l’espoir que cela se termine bientôt, ce fut un cri qui attira son attention vers la porte. Les voix cessèrent un petit moment.

Deux servantes se trouvaient là, à la fixer, horrifié alors que l’une d’entre elle s’évanouis tout simplement. Alyss se contenta de sourire à l’autre et tenta maladroitement d’essuyer avec sa main libre le sang sur son ventre pour en avisé calmement le résultat, mais tremblante. Un garde arriva dans la pièce et fut lui aussi pris de court par la scène, mais tenta de s’approcher afin de la désarmé et sans doute l’immobilisé dans le seul et unique but de l’aider. Aussitôt, la jeune adolescente se mis à hurler, tout en brandissant le couteau en sa direction.

- Allez-vous-en! Éloignez-vous de moi!

Tout en criant, elle recula difficilement, glissant un peu dans son propre sang. Sa vue s’embrouillait et ses paroles sonnaient avec moins de fermeté et de convictions, lentement, les voix revenaient. Elles n’étaient pas contentes qu’on l’empêche ainsi de terminer le travail. Le sommeil semblait vouloir revenir, mais cette fois, comme lors de d’autres crises, Alyss voulait lutter. Elle avait peur de repartir, peur d’être coincée encore une fois, peur qu’on l’empêche de terminer le travail si ce n’étais pas le cas, elle ne voulait pas. Elle n’avait pas remarqué, mais un autre garde était entré entre temps et lui avait agrippé les poignets afin qu'elle lâche l'arme qu’elle avait de nouveau retournée contre elle, alors que le second l’agrippa sans chercher à la blessé afin de la soulever pour la redéposer dans son lit malgré le sang qui la recouvrait, mais se sentir ainsi immobilisé la rendait encore plus hystérique.

-Laissez-moi tranquille… Vous ne comprenez pas… Il faut que, que… LÂCHEZ-MOI!

Ses yeux se fermèrent et les voix envahirent l’esprit des gardes alors qu’ils furent propulsés plus loin dans la pièce. Elle ne voulait pas y retourner. Dormir était devenu un cauchemar qui durait depuis trop longtemps et ils voulaient encore qu’elle y retourne? Non. Cela n’avait pas de sens. Aucun! Elle se rassit et mis chacun de ses bras de chaque côté, comme pour se protéger, se réconforté et se remis à se balancer, les yeux toujours vivement fermé. Elle entendit une voix mentionner son nom avec inquiétude. Elle connaissait cette voix et rien que le son en était rassurant, mais elle était incapable de réellement la distinguer. Était-elle fausse? Était-elle dans sa tête encore? Car même si elle était là, cela ne voulait rien dire. Elle refusait d’ouvrir les yeux. Et si elle le voyait, lui, encore? Les gardes étaient temporairement coincés avec elle et étaient tout simplement rester sur le sol, là où ils étaient tombés en se tenant la tête en hurlant. Cela pouvait leur donner un magnifique aperçue de son monde. Son nouveau monde. Sa nouvelle maison et la leur maintenant, mais encore cette voix, plus douce, plus insistante et ce contact... Sa semblait… Réel, mais. Non. Elle ramena vivement ses mains contre ses oreilles et serra de toutes ses forces. Et si c’était un autre de ces pièges? Et si finalement tout ceci n’était pas réel et qu’on se jouait encore d’elle? Elle ne voulait pas le voir, elle ne voulait plus le savoir. Alors elle gardait les yeux fermés, secouant vivement la tête de gauche à droite, signe qu’elle refusait. Quoi? Tout. Cette voix pour commencer. Cette mise en scène. Cet endroit. Elle voulait se réveillé.
Anonymous
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Jeu 03 Nov 2016, 03:29
HRP : j'ai la permission de mimi et xexe pour poster ici

Ça faisait environ un mois que ma meilleure amie, Alyss, était en train de dormir dans la tour. Je n'arrivais toujours pas à le croire.... Son père, un immortel, l'avait torturer et... Ce salaud allait le regretter un jour.... Je savais bien que je ne pouvais rien faire contre lui, mais un jour.... il allait le regretter j'en était sûre ! Comment... Comment a-t-il pu OSÉ torturer Alyss ?! Et le PIRE était cette inscription.... ugh.... cette phrase me brisait le cœur... Comme si elle pouvait "appartenir" à quelqu'un, que se soit un dieux ou non, Alyss n'était pas un objet de collection ! C'est une PERSONNE !!! Elle n'avait rien fait pour mériter d'être ainsi traité. Alyss était la gentillesse et l'innocence incarnée ! Personne aurait pu penser lui faire subir ces trucs horribles, du moins personne de censées...

Quand j'ai appris ce qu'il lui était arrivé j'Avais supplier mon nouveau maître de me laisser lui rendre visite le plus possible. Certes, je tenais à devenir chevalier et à suivre mon entraînement d'écuyère, mais je ne pouvais pas vivre normalement alors qu'une amie, que dis-je, ma meilleure amie, était dans un état critique ! En voyant que je n'allais pas pouvoir me concentrée assez sur les leçon avant d'avoir été la voir il avait accepté. En suite, il me laissa du temps à chaque jour, juste après le dîner pour aller la voir et une journée par semaine de congé. Ça pouvait peut-être paraître énorme, mais en réalité c'était très peu. Seulement trente petites minutes après le repas du midi pour la voir c'était ridicule comme temps de visite, mais je m'en contentais. Par contre, quand j'étais enfin en congé pour lui rendre visite, je m'y rendais toujours à la même heure pour déjeuner dans sa chambre en espérant qu'elle se réveille en ma présence.

Sauf que lors d'un de mes jours de congés, j'y étais aller comme toujours à la même heure, comme à mon habitude, j'étais totalement épuisée à cause de l'entraînement de la veille. Car, dix minutes après avoir fini de manger environ, j'avais décidé de prendre ma forme de puma, qui était encore assez petite, pour m'étendre collé contre elle dans le but de dormir avec ma tête sur elle. Ce que je ne savais pas, c'était que pendant mon sommeil, elle s'était réveiller et elle m'avait même reconnue avant de se rendormir. J'avais dormis contre... Euhh sur ? Peut importe... Mon sommeil avait duré environ une heure et demi au total. La première chose que j'avais fait était de regarde son visage en espérant qu'elle aie les yeux ouvert, mais ce que j'y ai vu m'avait brisé le cœur... Des larmes à demi séchées sur ses joues. Faisait-elle un cauchemar ou s'était-elle réveillée et pleurée de joie en me voyant ou était-ce simplement à cause de la douleur ? Je n'en savait rien, mais je préférais croire que c'était la seconde option... Je voulais qu'elle soit heureuse c'est tout ce que je lui souhaitais dans la vie.

***

Plusieurs jours ont passés, en fait une semaine pour être plus précise, comme toujours, j'étais allée la voir les autres jours pendant une trentaine de minutes après le dîner, mais aujourd'hui était ma journée de congé de la semaines. J'avais pris mon déjeuné et je me dirigeait vers sa chambre pour manger en sa présence dans l'espoir qu'elle se réveille. Par contre, en montant les escalier, j'avais entendu un hurlement qui provenait dans la direction de sa chambre, du moins vers l'étage de sa chambre. J'avait donc décidé d'accélérer un peu le pas en montant pour voir si tout allait bien, mais en arrivant au niveau de l'étage en dessous de la chambre d'Alyss je l'entendis hurler.

- Allez-vous-en ! Éloignez-vous de moi !

Grace à mon ouïe de pardusse, plus développé que celle des humain, j'ai facilement reconnu la voix... SA voix. Elle était ENFIN réveiller, mais quelque chose n'allait pas et je DEVAIS être là pour elle. J'ai donc laissé tombé mon plateau de nourriture dans les escalier pour les monter aussi vite que je le pouvais. J'avais un très mauvais pré-sentiment... J'étais plus qu'à quelques mètres de la porte de la chambre de ma meilleure amie....

- Laissez-moi tranquille… Vous ne comprenez pas… Il faut que, que… LÂCHEZ-MOI !

Quelqu'un lui voulait encore du mal ?!?! Et si c'était encore ce MONSTRE ?! Comment aurait-il pu entrer dans la tour sans qu'on le sache ?! Non.... je ne pouvais pas le laisser la torturer à nouveau ! C'était mon devoir de l'aider et ce péril de ma vie ! J'ai donc foncé dans sa chambre, mais ce que j'y ai vu était un spectacle tout autre que ce que je pensais.... Alyss qui baignait dans son sang, les gardes KO près des murs et une servante évanouie au sol...

- A...A-alyss....?

Elle gardait les yeux fermés... Recroqueviller dans son coin et son sang... je devais faire quelque chose. au moins stopper l’hémorragie ou juste la calmer un peu. J'ai dû user toutes mes forces et mon courage pour ne pas sangloter et paraître aussi rassurante possible, mais cela pouvait s'entendre dans ma voix tremblant que j'étais déchirée de la voir ainsi alors que je m'approchais lentement d'elle.

- Alyss... c-c'est moi Az... S-s'il te plait regarde moi... Tout ira bien je te promets.... Allez Alyss ouvre les yeux....

J'étais juste devant elle lorsque je m'étais agenouillée pour me frotter doucement la tête contre sa main espérant qu'elle reprenne ses sens, mais au lieu de ça elle s'était bouchée les oreilles et semblait presque vouloir les pulvériser en les écrasant aussi fort qu'elle le pouvait. Alors que j'allais poser un main sur la sienne elle s'était mise à secouer frénétiquement la tête de droite à gauche. J'avais si peur, peur de la perdre, au point que je m'étais mise à ronronner inconsciemment pour de rassurer. Je n'avais pas émit ce genre de ronronnement depuis mes quatre ans. Que devais-je faire maintenant ? À ce moment je ne faisais confiance qu'à mon instinct et ce dernier me disait de me blottir coller contre elle et profiter de son inattention pour tenter de fermer un peu ses plaie avec ma magie rudimentaire. Ça n'avait pas fait grand chose certes, mais elle saignait déjà un peu moins. Par contre, je lui envoya la plus grosse vague d’apaisement qu'il m'était possible de lui envoyer espérant qu'elle se calme et daigne au moins ouvrir les yeux ou au moins retirer ses mains de ses oreilles.

- Alyss je t'en supplie... Écoutes moi... O-on va te soigner........ ça va être long et difficile mais on va y arriver je te promets ! Et je serais toujours là pour toi, en pensées ou en vrai. N'aie pas peur petite fleur..... C'est moi, Azrili. T-tu te souviens ? Ton petit chaton mignon ? Je comprends que tu aies peur, mais tu es en sécurité en ce moment et tu n'as rien à craindre d'accord ? Alors ouvre les yeux et montre à tous le monde que tu es forte. Prouve nous que tu ne te laisse pas abattre facilement et que tu vaincras tous les obstacle qui se dresseront devant toi !

Pendant que je lui parlais oralement, je lui disais aussi le message par télépathie en espérant sincèrement qu'elle m'écoute. J'avais même posé délicatement mes mains sur les siennes sans appuyée, juste posé doucement sur sa peau pour qu'elle sente que je ne lui voulais absolument aucun mal. Il fallait que je la calme... Je DEVAIS la calmer sinon elle risquait vraiment gros avec cette horrible blessure sur son ventre.... "Oh Alyss.... Je ne veux pas te perdre, je tiens tant à toi...", disais-je tout bas espérant qu'elle m'entende.
Anonymous
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Sam 05 Nov 2016, 01:50
C’était un leurre, elle en était sûre. Il lui avait fait le coup une fois… Ou peut-être deux, ou trois. Elle ne savait plus et elle était terrifiée à l’idée de retomber encore dans le piège. Elle ne s’en sortirait clairement pas saine d’esprit, même si pour l’heure, c’était déjà trop tard. Elle continuait à ce balancé sans s’en apercevoir. Les mains serrer contre ses tempes lui faisait mal aux oreilles et même au crâne. Elle se trouvait forte. Oui. Elle se surprenait elle-même à quel point elle pouvait si bien se faire mal de la sorte avec si peu, sans même le désirer. Elle sentie son corps s’engourdir, comme si elle allait perdre conscience, retourner là où elle était. Depuis combien de temps? La noirceur des méandres de ce tourbillon infini l’enveloppait de nouveau et elle avait peur. Elle pouvait sentir sa griffe glacé remonté le long de ses jambes. Elle eut un soubresaut pour résister. Elle était si crisper qu’elle ne réalisait pas encore à quel point elle faisait mal à ses muscles ainsi.

Soudain, elle se détendit. Quelque chose d’agréable, de réconfortant l’avait envahis. Il y avait encore cette voix, accompagnés d’un… Ronronnement. Comme les chats. C’était étrange. Cela la surprise un peu. Assez pour la forcer à tendre un peu l’oreille vers l’extérieur. C’était nouveau. Chose qu’elle n’avait visiblement pas fait depuis longtemps, enfermé dans son esprit avec les autres. Alyss avait choisi de respirer moins fort, moins rapidement. Elle avait cessé de murmurer, elle était curieuse et elle voulait savoir l’origine de ce son agréable à ses oreilles, laissant un peu les voix de côté, bien que toujours présente en un bourdonnement de fond. Elle put sentir la douleur lancinante sur son ventre laisser un peu de place à de la chaleur. Elle réalisa qu’on était contre elle. La chaleur d’Azrili touchait sa peau et sa fourrure était douce. Elle connaissait cette douceur. C’était Azrili, la vrai. N’est-ce pas?

Elle comprit quelques brides des paroles de celle-ci. Pas autant qu’elle aurait dû, sans doute. Quelques mots résonnaient dans son esprit et venait rejoindre ses oreilles aussi. C’était un étrange écho, mais elle ne le craignait pas vraiment. Peut-être que… Que les choses allaient bien aller. Peut-être.

-N’est-ce pas?

Avait-elle murmuré d’une petite voix incertaine. Cela n’avait sans doute strictement aucun sens, ni aucun lien pour la jeune Pardusse. Après tout, cela n’avait ni queue ni tête avec ce que celle-ci venait de lui dire. Cela trahissait sans doute le fait que la rosette n’avait capté que très peu de ses mots. D’ailleurs, elle ne saurait même pas répété lesquels elle avait su entendre dans toute cette cacophonie.

Entre temps, les deux gardes furent libéré de l’emprise magique de l’Écuyère et se redressèrent rapidement, prenant avec eux la jeune servante toujours inconsciente. Ils jetèrent un bref regard au duo féminin, s’attardant un tantinet sur la Pardusse. Ils savaient qu’elle était une proche de la jeune victime et celle-ci semblait avoir la situation en main. Il valait mieux s’occuper de la jeune femme pour l’un et pour l’autre, aller chercher le Mage le plus prêt afin de vérifier l’état de santé de la comateuse qui venait de se réveillée. Sans doute pour de bon cette fois.

Elles étaient maintenant seules. Alyss pouvait le sentir. Elle c’était complètement ramollie et se sentait fatiguer, malgré tout ce qu’elle avait pu dormir. C’était comme si elle pouvait enfin dormir, avoir enfin un petit répit. C’était ironique. Peut-être que ce monde était le rêve et l’autre la réalité. Dans tous les cas, elle pouvait se reposer un peu. Elle poussa un soupir. La main chaude de son amie sur la sienne lui fit du bien et elle enveloppa celle-ci de sa main libre, sans doute recouverte de sang sécher. Elle risqua d’ouvrir un œil. Puis le referma aussitôt, laissant un sourire parcourir ses lèvres.

-Az…

Puis, elle se pencha vers l’avant pour entourer son amie de ses bras. Le mouvement ne lui fit pas vraiment de bien, car la plaie sur son ventre craqua sous l’étirement, mais, elle était bien à la fois. Elle enfouit son nez dans la fourrure de son amie, la serrant encore plus fort, soulagée, comme si elles ne c’étaient pas vue depuis des années. Tout lui avait paru si long. Le ronronnement était toujours là, ce qui malgré la gravité de la situation, amusa et intrigua de nouveaux la jeune Écuyère qui se détacha un peu de son amie pour la regarder. Bien que ses jouent étaient encore toutes humides, elle eut un petit sourire, timide, puis elle détourna les yeux et remarqua le sang sur le sol, puis sur elle, puis…

Elle recula vivement, ce demandant quelques secondes ce qui venait de ce passé. Pourquoi elle était recouverte de sang ainsi. Elle observa son estomac. Sa chemise de nuit était déchirée à cet endroit et le sang… Puis eut peur un instant, jusqu’à ce qu’elle se souvienne que c’était elle qui l’avait fait. Personne d’autre. Personne… Qu’il n’y avait plus rien d’écrit, plus rien… Et même si étrangement elle se sentait victorieuse, elle se sentait honteuse. Elle agrippa une couverture sur le lit et la tira contre elle. Non sans compté le fait qu’elle était plutôt pudique et timide de nature, elle avait honte. Honte de ce que son amie voyait, honte de l’état dans lequel elle se trouvait. Honte d’être fier de s’être découper en morceau. Oui, voilà. Sa gorge se serra et elle eut envie de sangloté, mais elle était vidée, épuisée d’avoir pleuré, de s’être débattue, d’avoir hurlé durant ce qui lui paraissait des années.

-Je ne veux pas me perdre non plus…

Cela avait mis du temps à se rendre. Sa réponse avait sonné différemment dans son esprit, mais cette erreur de prononciation avait tellement de sens, au fond. C’était la pure vérité, la stricte vérité. Si elle se perdait, elle perdait Azrili, elle perdait tous ceux qu’elle aimait, sa famille, Ca…. Un vent de panique l’envahis de nouveau et Alyss s’approcha de nouveau de son amie, la couverture toujours serrer contre elle.

-Ma… Ma mère! Où est-elle? Est-ce qu’elle va bien?! Je… S’il te plait dis-moi qu’elle va bien…

Sa voix était brisée. Alyss fixait son amie avec supplications. Elle avait perdu conscience. Ces derniers souvenirs étaient violents et sa mère… Sa mère. Si jamais elle venait à apprendre que Takeshi l’avait tué, elle ne s’en remettrait jamais. Impuissante, voilà ce qu’elle avait été elle avait été impuissante… Et, repensant à tout ceci, son regard ce brouilla. Elle fixait le néant avec horreur, s’imaginant le pire. Sa tête tournait, tout tournait. La pièce était en mouvement ou est-ce que c’était elle? Elle laissa tomber sa tête vers l’avant, tout en agrippant les épaules de son amie et fermant les yeux. Elle était étourdie, c’était beaucoup d’un coup. Elle en avait oublié de respirer.
Anonymous
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Sam 12 Nov 2016, 00:18
- N'est-ce pas ?

Je ne comprenais pas ce qu'elle voulais dire par là.... Elle l'Avait si bas que je ne l'aurais surement pas entendu sous ma forme humaine. Je me moquais un peu si elle avait tout compris mes paroles. Je voulais juste qu'elle se calme, qu'elle revienne comme avant. Alors entendre sa voix ainsi me redonnait un petit peu d'espoir. Certe ce n'était pas non plus le meilleur signe, mais au moins elle ne criait plus. J'étais tellement concentrée sur elle que je n'avais pas remarquer que les gardes nous avaient laissées toutes les deux seules, mais ce que j'avais remarquée, n'était pas totalement positif ni totalement négatif non plus. Elle s'était détendue ce qui pouvait montrer qu'elle était enfin plus calme ou qu'elle s'était complètement vidée de ses forces. Je gardais mes mains sur les siennes visiblement troublée.

- Az...

Mes oreilles se redressèrent vivement en l'entendant prononcer mon surnom. Elle m'avait reconnue !!! Elle me serra même contre elle !!!!!! J'étais si heureuse, je l'avais calmé, j'Avais réussi à accomplir la tâche qui devait surement la plus compliqué. Je n'arrivais pas à retenir ma joie à cet instant mon ronronnement, qui au début était surtout pour me rassurer et instinctif, est devenue celui d'un chaton enjouer. Je ronronnais si bruyamment qu'on pourrait m'entendre jusque dans la pièce d'à côté. Mais, cette joie n'avait pas durée très longtemps.... Elle avait enfin remarquée tout le sang... SON sang ! La pauvre était si confuse et effrayée... Elle avait reculée brusquement puis regarder son ventre. Je la regardais toute triste ne sachant pas trop quoi lui dire pour la rassurer.

- O-on va te soigner 'Lyss.... Mais tu dois rester calme pour pas empirer ta blessure d-d'accord ?

Je le fixais alors qu'elle se couvrait de la couverture. J'étais tellement concentrée sur mon amie que l'odeur du sang ne me faisait rien, pas plus le fait que j'en avais sur moi aussi à cause de notre calin.

- Je ne veux pas me perdre non plus…

Sa voix... Jamais je ne l'Avais entendu si triste, si... Terrorisée.... Je n'arrivais plus à retenir mes larmes à ce moment là. Les gouttes roulaient lentement sur ma fourrure. Je ne pouvais imaginer la détresse qu'elle avait, mais je pouvais au moins être présente pour elle. Je me foutais un peu de la couverture, car ce n'était pas ça qui allait m'empêcher de me blottir contre elle, j'avais besoin de la serrer contre mais et elle en avait encore plus besoin !

- Ma… Ma mère ! Où est-elle ? Est-ce qu’elle va bien ?! Je… S’il te plait dis-moi qu’elle va bien…


Ça mère... C'est vrai elle aussi avait été blessée le même soir il y a environ deux mois.... Et Alyss n'avait que très rarement repris conscience, mais jamais assez longtemps pour qu'on lui parle, jusqu'à maintenant...

- Ta mère va bien, elle est sortie du coma il y a environ quatre ou cinq semaines je dirais. Mais, elle dois rester au lit pour être vraiment totalement rétablie ! Tu sais 'Lyss... Je suis sûre que ta mère serait heureuse que te rétablisse vite pour que tu lui rende visite. Sauf qu'avant... Il faudrait qu'on soigne ton ventre et que tu mange pour reprendre assez de force pour marcher d'accord ?

Je la regardais dans les yeux d'un air suppliant pour qu'elle accepte qu'on vienne refermé sa plaie. Il fallait le faire rapidement.... Alyss avait le teint plus pâle que les draps de son lit qui n'étaient pas encore tâchés de son sang.
Anonymous
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