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Clinique Improvisée - Cours Guérison

Invité
Sam 11 Fév 2017, 20:47

C’était le temps d’un bon cours de guérison comme je les aimais. J’étais dehors dans un coin reculer de la cour. J’avais donné rendez-vous ici aux élèves d’émeraude, de la tour des mages ainsi que futurs élèves aussi des deux ordres. Ces derniers seraient plutôt en mode observation. Ils pourront posés leur question et émette leurs opinions. Rien de mieux d’apprendre qu’en observant le tout. J’avais installé tout ce que nous allions avoir besoin. Ce n’était pas le premier cours de mes élèves. La théorie était bien installée dans leur esprit. C’était le temps de passer à la pratique. Dans quelques temps, les gens du village voisins viendraient ici pour soigner quelques maladies mineures ou blessures. Ce cours permettrait d’aider le peuple d’Émeraude et d’instruire la relève. Certain avait un don pour la guérison et d’autre ça laissait à désirer. J’étais là pour aider tout le monde. C’était quand même mon rôle principal en tant que professeur de magie…

Chaque élève aura sa propre petite table avec deux chaises. Une pour le patient et une pour lui. Il devra marquer sur une feuille le nom du patient ainsi que la raison de la consultation. J’allais garder cela afin de faire quelques statistiques au niveau des blessures et maladies courante du village. J’aurais aussi ma table pour ce qui semblerait un peu trop pousser pour les élèves. Un brin plus loin, il avait une table remplis d’herbes et quelques infusions déjà préparer à la disposition de la relève.

J’étais en train de terminer la préparation de ceux-ci quand les premiers élèves arrivaient. Je les laissais explorer les installations le temps que tout soit prêt et que tout le monde soit arrivé. Je les invitai par la suite à venir autour de ma table. Le groupe était petit. Avec les ombres, j’avais l’impression qu’une certaine peur c’était installer dans tous les royaumes et l’idée de faire voyager les enfants magiques jusqu’à Émeraude en avait repoussé plus d’un à venir ici. C’était aussi la raison pour laquelle j’avais invité les futurs élèves à suivre le cours. Même si le groupe était petit, il fallait quand même donner des cours dignes de ce nom. Ça permettait aussi de créer des cours un peu plus poussé et plus pratique. Les élèves avaient aussi plus de temps libre car bien entendu, le tout avançait beaucoup plus vite que quand j’avais deux gros groupes.

« Alors premièrement, bienvenue à l’extérieur du château! Nous avons aujourd’hui une magnifique journée alors autant en profiter. Je ne sais pas combien de personne nous aurons, mais j’espère que nous allons en aider plusieurs. Comme je l’ai mentionné en cours cette semaine, vous allez pratiquer la guérison sous toutes ses formes. Autant de façon magique qu’avec les herbes et les infusions. N’hésitez pas à poser des questions. Je vais me promener entre les tables afin de voir ce que vous faites. Si vous avez un problème avec une personne appeler moi. Vous pouvez utiliser la télépathie si vous ne voulez pas que la personne sache que vous demandez de l’aide. » Mon regard se porta sur chaque personne présente. « Bien, je vois que les gens commencent à arriver. Nous avons Stella ici fera en sorte que tout se déroule bien. Elle désignera la table au patient quand ça sera son tour. Pour vous, je vous demande d’inscrire le nom de la personne ainsi que la raison de sa visite à notre petite clinique improvisée. Vous avez tout ce qui vous faut sur votre table. N’hésitez pas à vous servir des herbes. Si vous vous sentez trop faible suite à une intervention, prenez le temps de vous reposer avant de prendre un autre patient à votre charge.  Les futurs élèves, vous pouvez vous promener d’une table à l’autre. Vous posez vos questions sans déranger par contre. Vous pouvez venir me voir quand vous voulez. Vous êtes comme des assistants. »

Je les invitai à partir chacun à leur table. Je fis signe à Stella à faire venir les premières personnes. J’avais bien hâte de voir ce que ça allait donner. Je pouvais sentir la fébrilité et la nervosité de certain. Ça allait être enrichissant. Je savais qu’il aurait surement des tensions entre patient et guérisseur amateur. C’était beaucoup cela que je voulais montrer à mes élèves. On ne travaillait pas toujours avec du monde qu’on aimait, on n’aidait pas tout le temps du monde qu’on voulait réellement aider. Mais dans les deux cas, c’était important de bien faire notre travail. Car devenir Chevalier ou Magicien était un honneur. On défendait tout le monde sans exception. (Ou Presque)


HRP: Bon… Voilà un cours de GUÉRISON ouvert à tous les élèves d’émeraude et de la tour des mages ainsi que des futurs élèves des deux ordres. Si jamais ne vous êtes nouveaux et voulez venir, gênez-vous pas ! Les apprentis-magiciens, vous êtes les bienvenus si cela vous chante!

Il n'a pas de tour. C'est plutôt libre. Je vais interagir avec Alizée afin de vous aider à avancer. Jouer vos patients si je vois que vous avez de la misère à avancer vos choses.
Anonymous
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Sam 25 Fév 2017, 07:24
Il serait donc question de venir en aide aux villageois. Eyreen ne se sentait pas vraiment sereine ayant peur de mal faire. Toutefois, ses craintes s'évaporèrent rapidement. Leur professeur les en pensait digne et elle ne serait jamais seule. Au moindre doute elle pouvait demander conseils. Tout se passerait donc pour le mieux.
Eyreen prit donc place à la table qu'on lui désigna et attendit avec impatience son premier patient. Il arriva bien vite et c'était un jeune homme d'une trentaine d'année qui venait visiblement de se blesser avec un quelconque outil. Il tenait son bras en écharpe et le tissus était taché de sang coagulé. C'était la première fois que Reen voyait du sang qui ne lui appartenait pas, elle retint avec difficulté un haut de cœur. Se pauvre bougre avait besoin d'elle, elle se devait d'être à la hauteur.

« Je me nomme Eyreen et je vais prendre soin de vous. Je vais aller chercher de l'eau pur décoller ce morceau de tissus. Installez vous je n'en aurais que pour un instant. »

La petite fille souriait et se voulait rassurante. Elle alla se quérir d'une cruche d'eau et revient promptement auprès de son patient.
L'homme lui rendit son sourire, il ne paraissait à la vérité pas à l'agonie. L'enfant pris grand soin de décoller avec délicatesse le tissus de la plaie en l'humidifiant. Elle s'évertua à nettoyer la plaie avec un linge propre et de l'eau. La voyant ainsi concentré le jeune homme la laissa à son office, il lui semblait nécessaire d'encourager la jeune génération magique et venir ainsi se faire soigner lui semblait naturel. Il fallait bien que jeunesse se fasse. La plaie avait saigné abondamment mais cela c'était tarit. Elle n'était que peu profonde mais laisserait sans doute tout de même une fine marque. L'enfant s’arrêta honteuse, elle avait totalement omis de lui demander les circonstances de sa blessure.

« - Comment vous êtes vous fait cette entaille ? ».

Les joues de l'enfant avait pris une teinte rosé qui n'échappa pas à son interlocuteur. Toutefois, bon prince il ne le releva pas et fit tout bonnement comme si de rien n'était

« - en travaillant au champs, une faute d'inattention que je ne recommencerais sûrement plus. Je m’appelle Philippe, je suis heureux de faire ta connaissance Eyreen. »

Il essayait ainsi de détendre l'enfant ce qui fonctionna au dessus de ses espérances.
Elle respira tranquillement et alla chercher un baume désinfectant et un cicatrisant pour soigner au mieux la plaie. Ne maîtrisant pas tout à fait ses pouvoirs elle préférait dans la mesure du possible avoir recours au simple.
Elle plaça donc les différentes décoctions qu'elle connaissait, c'était à la vérité des savoirs bien basique, et enroula le bras blessé dans un linge propre. Très fière d'elle elle adressa un immense sourire à Philippe

« - je te félicite et te remercie ma grande, tu t'es débrouillé à la perfection»

Ravie de se premier contact avec les habitants d'Emeraude, Eyreen enchaîna un autre patient de la même manière conviviale avant de prendre en soin le suivant. C'était un homme, un peu plus vieux que Philippe sans doute. Plus imposant également il avait un ventre tendu par l'alcool et avait une taille moyenne. Le visage rougis par une trop grande consommation de spiritueux il empestait l'alcool et la saleté. Ne s’arrêtant nullement à cela, l'enfant l’accueillis avec la chaleur dont elle avait fait preuve jusqu'alors.

«  En quoi puis-je vous aider monsieur ? »

L'homme posa son regard vide sur Reen, la détaillant sans aucune finesse

«  T'es pas un peu trop p'tite pour soigner toi. Je veux un vrai mage avec de la magie et tou allez toi, soigne moi. J'ai d'la fièvre, ça me dévore les entrailles et faut qu'jaille à la forge. Allez gamine on se dépêche. »

Désarçonnée par le comportement de son nouveau patient qui différait en tout point des deux précédents Eyreen ne broncha pas et se dirigea vers les plantes pour quérir se dont elle avait besoin. Lorsqu'elle retourna auprès de son patient, il c'était déjà installé. Voyant les herbes d'Eyreen il eût un geste violent lançant les plantes à terres, les arrachant des mains de l'enfant.

«  J'veux pas d'ses remèdes de vielles, j'veux d'la magie allez gamine. T'en est capable oui ou non?  »

Surprise par son geste, le vent commença à se lever doucement. L'enfant ferma les yeux et respira doucement. Elle devait se calmer, rester mettre d'elle même. Elle ne voulait blesser personne. Voyant la situation quelqu'un viendrait à son secours elle en était certaine.
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Mar 07 Mar 2017, 12:39

Tout semblait bien aller. Du moins, c’est ce que je voyais pour l’instant. Les élèves c’étaient rapidement mit à la tâche. Pour la plupart, l’anxiété faisait rage, mais la confiance gagnait assez vite. Ils savaient ce qu’ils devaient faire. Ils n’étaient peut-être pas des experts dans le domaine, mais ils avaient assez d’expérience pour être capable de rendre cette clinique improvisée efficace. Tout semblait bien se dérouler. Eyreen semblait travailler très fort et prendre de l’assurance de plus en plus. Même si elle oubliait quelques formules de politesse dû à la nervosité, c’était très bien. Ses soins étaient prodigués avec soin.

Je prenais soins de me promener ici et là entre les tables. M’assurer que tout allait bien. Je guidais mentalement ceux qui hésitait un peu trop. J’expliquais aussi aux futurs élèves la raison pour laquelle l’élève avait choisis tel technique. Je pris le temps de guérir une petite fille d’environ deux ou trois ans qui était tomber en bas d’un arbre. Son bras avait subi quelques dommages. Rien de bien grave, même pas de cassure. Je pris tout de même le temps de l’examiner sous le regard apeuré de sa mère. Après un petit instant, je fis apparaitre la petite lumière blanche qui entoura le bras de la petite. En un rien de temps, l’enflure avait disparu. Je souris à la petite et regarda sa mère en lui disant que tout était maintenant chose du passé. Celle-ci semblait plus que soulagée. Je fis signe d’attendre quelques secondes. J’allais chercher un petit gâteau et le donna à la fillette. C’était important de montrer que la magie était bonne. Beaucoup de villageois en avaient peur encore. Même s’ils étaient habitués, c’était une autre chose quand on l’utilisait envers eux.

Alors que j’allais faire signe au suivant de passer à ma table, je remarquai l’énergie négative d’une personne. Je me rendis automatiquement près de la table de l’élève Eyreen. Il avait ceux qui avait peur de la magie et ceux qui enviait toute personne la possédant. Et sans oublier ceux qui pensait que la magie c’était la clé à tout. Comme ce monsieur. Ce fut beaucoup trop quand il fit un geste de colère en faisant tomber les herbes à terre. Je me mis directement entre l’élève et le patient. Pas question que ça reste ainsi.

« Recule Eyreen »

Mon regard se fixa dans celui de l’homme. Entre temps, il c’était lever afin d’être à ma hauteur. Ou plutôt me dépasser de quelques bons centimètres. Cela ne me faisait pas peur. Son air supposément menaçant, j’avais connu bien pire.

« Je vous rappelle que cette clinique est faite par des enfants. Et qu’elle est sur base volontaire. Nous apprenons à nos élèves les soins autant par magie que par les herbes. Les deux s’avèrent efficaces. Si vous n’êtes point content de nos méthodes, je vous conseille d’aller voir ailleurs. Eyreen ne fera pas plus pour vous….»

« Elle est obligée de me soigner! Je suis ici pour cela! »

« Elle est en rien obligée mon cher! Je vous demanderais de partir sur le champ. Ramasser les herbes si cela vous tienne et tenter de faire comme bon vous sembles avec. Vous ne méritez point qu’on prenne le temps de vous expliquer comme les infuser afin de vous guérir. De toute façon, vous n’avez qu’une simple fièvre, elle passera d’ici quelques jours et vous pourrez retourner à vos occupations loin d’ici. »

Il eut un petit rire nerveux, offusquer qu’on le traite ainsi et qu’il devienne le centre d’attention. Il n’avait pas grand monde de son côté. Il donna un coup de dans les herbes et partit en marmonna des paroles incompréhensives. J’avais tout de même pris le temps de la sonder discrètement afin de voir s’il était en danger de mort. Même s’il n’avait pas été correct avec nous, je ne pouvais laisser un paysan mourir ainsi. Heureusement pour nous, il ne semblait qu’avoir un simple virus. S’il prenait le temps de se reposer, il s’en sortirait rapidement. Je lui ferais surement parvenir un petit panier avec les herbes et les instructions d’ici la fin de la journée. Ensuite, la balle sera dans son camp. Il devait apprendre de son erreur.

« Ne t’inquiète pas Eyreen. Certaine personne pense que la magie règle tout. Hors, ce n’est pas le cas. Ce n’est pas parce que nous sommes magiques qu’il faut toujours s’en tenir à cela. Tu as très bien choisi tes plantes et je suis certaine que tu lui aurais su lui expliquer le fonctionnement parfaitement. Malheureusement, le monsieur était légèrement têtu. Ne t’en fait pas avec cela. »

Je fis venir un nouveau patient à l’élève. J’envoya un vague d’apaisement afin de la calmer et lui redonner la confiance qu’elle venait surement de perdre. Elle faisait face à une jeune femme d’environ dans la vingtaine qui se plaignait de grandes fatigues, d'étourdissements sans parler des nausées chaque fois qu’elle se levait.  Je me doutais parfaitement de la cause. Je pouvais même sentir la petite énergie. J’étais maintenant curieuse de voir si la petite serait capable de détecter la petite chose qui poussait dans son ventre. Et surtout, de quelle façon allait-elle l’annoncer. Serait-elle capable de le faire ou aurait-elle besoin d’aide? Et quels conseils lui donnera-t-elle? Si bien entendu, elle les savait.
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Jeu 09 Mar 2017, 17:59
Je prends une grande inspiration et j'expire, c'est ainsi que je détends un peu mes nerfs en ce moment. Aujourd'hui est un jour important. Des villageois viendront ici se faire soigner. Je sais qu'il y a des femmes qui surveilleront nos progrès, mais cela me rend un peu nerveux. Je n'ai pas envie de faire d'erreurs aujourd'hui. J'ai envie d'aider les autres, mais pas vraiment d'empirer les choses. Je regarde un peu le matériel que j'ai à ma disposition. Je suis assez à l'aise avec ce que j'ai, j'ai une bonne compréhension de comment traiter les maladies de base.

Je m'assoie à la table qui m'était assigné. Je regarde les citoyens qui se dirigent vers les différentes tables, j'attends avec impatience et avec un peu de crainte. Je m'agite un peu sur ma chaise et je contrôle ma respiration. Je m'efforce de garder un air calme, même si les émotions pouvaient presque sortir par mes oreilles. Je vois les passants, aller aux tables et se faire soigner. Je porte attention à une table proche où un homme grossier qui s'est fait envoyer ailleurs par la responsable. J'espère ne pas tomber sur un patient de ce genre.

Après quelques minutes, je vois une famille se diriger vers moi. La femme, était entouré de deux hommes. Un que j'estime est le fils, l'autre doit être le mari de la femme. La femme et le mari avaient l'air d'avoir l'âge à ma grand-mère, donc je suppose que le plus jeune doit être leur enfant. Les deux hommes supportaient la femme puis ils finissent par l'asseoir sur la chaise que j'avais placée en face de moi. La femme avait l'air fragile. Je fais un salut de ma tête et je me présente.

- '' Bonjour, je suis Nathaniel d'Émeraude, je suis élève, comment puis-je vous être utile ? ''

Le mari me regarde avec un tel regard suppliant que je ne peux que prendre pitié à cette famille.
- '' C'est ma femme, elle est tombée malade, elle a de la difficulté à marcher et elle est faible. À la maison, nous n'avons pas de médecine et nous ne sommes pas très riche. Pouvez-vous l'aider? ''

Je sens mon cœur se tordre, par pitié. Je leur donne une couverture et je leur demande de la mettre sur la mère pour qu'elle soit confortable, je leur demande aussi de la garder réveiller en lui parlant. Pendant ce temps, je prépare une infusion avec des herbes. Je sais que ce n'est pas des soins magiques, mais cela sera tout autant efficace. Il me semble que nous avions tout autant le droit à la médecine traditionnelle, donc c'est ce que j'ai décidé de faire. J'arrive avec la tisane, le fils me regarde avec un regard inquiet.

- '' Est-ce que ce breuvage guérira ma mère ? ''

Je réfléchis à ma question, en tentant de trouver une réponse adéquate, je ne veux pas les inquiéter plus qu'ils ne le sont déjà.

- '' Il ne la guérira pas, mais il l'a mettra sur le bon chemin, elle n'a qu'une solide fièvre. Du repos et de la tisane la remettre sur pied bientôt. ''

Avant qu'ils ne m'arrivent avec des protestations, je sors quelques assortiments d'herbes et je leur offre avec un sourire. Ils eurent un air surpris, puis avec un peu d'hésitation, le père l'a pris et me remercie d'un mouvement de tête. Je leur donne quelques indications sur les dosages et quantités à prendre, puis ils repartent, avant de les perdre de vue je leur demande leur nom, pour que je puisse les noter. Avec un sourire, ils me laissent noter leurs noms. Je retourne à ma place, sourire aux lèvres et je tourne ma tête pour essayer de chercher l'approbation d'un surveillant, puis je retourne à ma position. Étant fier d'avoir pu aider et attendant patiemment mon prochain patient.
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Sam 18 Mar 2017, 16:35
C'était partit pour le cours pratique de soins. J'avais essayé de suivre du mieux que je pouvais les cours qu'Alizée nous avait fais sur la théorie. Je n'avais pas encore eu l'occasion d'essayer de me servir de mon pouvoir de guérison. Je fus dans les premiers à arriver dans la cour du château. La Cardinale s'était installée dans un coin reculé de la cour. J'étais curieux de voir ce qu'elle nous avait préparé. Lorsque j'arrivai sur place, je pus apercevoir qu'il y avait plusieurs tables, chacune ayant deux chaises. Des feuilles et des plumes étaient posé sur chaque table. Cela m'intriguait énormément. Puis notre professeur de magie nous demanda de nous rassembler devant sa propre table. Je suivis les autres avec une certaine impatience. Finalement les cours ici étaient vraiment intéressant même si visiblement j'avais plus d'accointance avec l'art du combat. Mon impatience ne m'aidait pas vraiment pour certains cours.

J'écoutai avec attention ce que nous expliquai la cardinale. Nous allions prodiguer des soins aux villageois d'Emeraude. Nous allions mettre en pratique ce qu'elle nous avait enseigner durant ses dernières semaines. Les futurs élèves seraient aussi de la partie, même si eux ne pratiqueraient pas de soins qu'ils soient magiques ou non. Puis notre professeur nous invita à aller nous installer à une table. Je suivis mes camarades avec une certaine appréhension. Je n'avais jamais soigné quelqu'un et je n'étais pas sûr d'être un bon soigneur. Je n'étais pas assez discipliné pour cela. Je m'installai devant une des tables et attendit avec une certaine impatience la venue de mon premier client. Déjà les villageois arrivaient par petit groupe.

Je pus voir un jeune homme se diriger vers Eyreen. Cette dernière sembla discuter avec lui et le soigna. Puis un autre homme arriva. J'avaos déjà vu ce genre de personnage dans le village où je vivais avec mes parents. Ma camarade sembla très vite en difficulté face à lui. S'il y avait bien un truc que je ne supportais pas, c'était qu'on s'en prenne au filles. J'allais réagior au quart de tour lorsque je vis Alizée intervenir. Je sentais mon côté démoniaque bouillir en moi et je dus faire beaucoup d'effort pour me calmer. Lorsque je me concentrai de nouveau sur ma table, ce fut pour voir arriver enfin un villageois. Comment allait-il réagir face à mon regard rouge sang ? Je ne savais pas vraiment comment les démons et les demis-démons étaient considérés à Emeraude.
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Mar 28 Mar 2017, 15:50
Le secours ne se fit pas désirer. Alizée accouru rapidement aider la petite  rubienne dans une délicate posture. Lorsqu' Eeyreen vit sa professeur, le soulagement fut tel que le vent autours d'elle s’arrêta immédiatement . La mage était présente les choses ne pouvait aller qu'en s'améliorant.

« recule Eyreen »


l'enfant n'était que trop contente d'obéir et elle se positionna derrière sa protectrice. Alizée devait avoir une certaine habitude de gérer pareille situation. Elle saurait réagir en conséquence. À l'instant où elle était venue porter secours à Eyreen, elle avait adopté pour l'enfant un caractère quasiment divin. Il n'y avait pour sure que les âmes les plus nobles pour aider ainsi un individu en grande difficultés. La mage s'était ainsi assurée le respect sans borne et sans faille de la petite fille.

« Je vous rappelle que cette clinique est faite par des enfants. Et qu’elle est sur base volontaire. Nous apprenons à nos élèves les soins autant par magie que par les herbes. Les deux s’avèrent efficaces. Si vous n’êtes point content de nos méthodes, je vous conseille d’aller voir ailleurs. Eyreen ne fera pas plus pour vous….»

« Elle est obligée de me soigner! Je suis ici pour cela! »

L'homme essayait d'avoir le dernier mot mais cela s'avérait bien vain

« Elle est en rien obligée mon cher! Je vous demanderais de partir sur le champ. Ramasser les herbes si cela vous tienne et tenter de faire comme bon vous sembles avec. Vous ne méritez point qu’on prenne le temps de vous expliquer comme les infuser afin de vous guérir. De toute façon, vous n’avez qu’une simple fièvre, elle passera d’ici quelques jours et vous pourrez retourner à vos occupations loin d’ici. »

Il n'y avait rien à rajouter. Eyreen ressentit tout de même une pointe de culpabilité de le laisser aller ainsi, espérant qu'il ne souffrait d'aucun mal d'importance. Toutefois, selon les dires de son professeur, l'homme n'avait qu'une simple fièvre, rien de bien définitif donc. Tout irait pour le mieux. Le paysan fit mine de partir, non sans envoyer d'abord un coup de pied rageur au fleur qu'il avait jeté au sol et en maugréant contre semblait il le monde entier. La petite fille ne put s’empêcher de ressentir une certaine pitié pour cet homme. Quel malheur, il semblait avoir une telle colère en lui en tous et toutes choses, fardeau qui paraissait bien lourd à porter pour l'enfant.

« Ne t’inquiète pas Eyreen. Certaine personne pense que la magie règle tout. Hors, ce n’est pas le cas. Ce n’est pas parce que nous sommes magiques qu’il faut toujours s’en tenir à cela. Tu as très bien choisi tes plantes et je suis certaine que tu lui aurais su lui expliquer le fonctionnement parfaitement. Malheureusement, le monsieur était légèrement têtu. Ne t’en fait pas avec cela. »

L'enfant sourit à sa protectrice. La confiance qu'elle semblait avoir en les capacités d'Eyreen, celle-ci saurait en être digne. Les autres étaient ce qui permettaient à la petite fille d'avancer, elle possédait un esprit profondément grégaire et avait besoin de la compagnie de ses semblables pour s'épanouir. Pour Eyreen, voir des sentiments positifs dans les yeux de ceux qui la regardait été primordial, elle ne pouvait être heureuse sans une certaine reconnaissance d'autrui pour ce qu'elle était. . Elle espérait toutefois être en mesure d'aider son prochain patient. Chez elle la confiance était une denrée aussi rare que fragile et son patient houleux avait fait s'évaporer le peu qu'elle en avait acquit, lors de ses précédents coups d'éclat avec ses premiers malades. La vague d'apaisement que lui asséna Alizée était si bien orchestrée que l'enfant ne s'en rendit bien évidement nullement compte. Toutefois, ses craintes en furent apaisées. Elle saurait faire face à l'adversité et dans le cas contraire, elle n'était pas seule, elle avait en la personne d'Alizée une alliée de poids.
Une jeune femme d'une vingtaine d'année s'avança timidement vers elle. Une autre patiente qui paraissait bien moins véhémente que le précédent. Elle venait pour une intense fatigue, des nausées matinales et des étourdissements causé par des levés trop rapide.
Eyreen fit un lien prompt entre les symptômes que présentait cette jeune femmes et ceux dont Meïlhor était atteinte depuis le début de sa grossesse. Elle n'avait de cesse  de se plaindre à Jamère de son état, le tenant pour seul responsable. Eyreen avait toujours trouvé leur grande complicité des plus charmante.
Toutefois, il était des plus  probable que la jeune femme devant elle soit enceinte. La petite fille connaissait les plantes nécessaire à apaiser ses maux pour avoir souvent observer la compagne de son frère s'en faire des concoctions. Du gingembre et de la menthe poivrée pour apaiser les nausées, de la fleur d'oranger et de l'angélique pour leurs vertus apaisante, de la lavande et de la marjolaine pour lutter contre la fatigue des premiers mois. Eyreen avait le savoir théorique adéquat. Néanmoins, elle n'avait aucune idée de comment l’annoncer à la future jeune mère.
La patiente d'Eyreen semblait hésitante devant le silence de l'enfant

- « Tu penses que c'est grave ?  je suis rudement malade ?  »

L'enfant s’exhorta au courage. Alizée lui avait fait confiance, elle devait s'en montrer à la hauteur. Elle s'assit à côté de la jeune femme sur la table ou elle était installer, s’efforçant d'avoir l'air avenante, ce qui n'était pas difficile pour la petite Rubienne. Elle offrit un sourire à la jeune femme et entreprit de répondre à ses interrogations

«  Excusez mon silence, je n'ai pas voulu vous inquiéter. Je me nomme Eyreen. Non je ne pense pas que vous soyez malade et quand à l'importance de ce qui vous amène ici, je pense que vous ne pouvez en être que seul juge. Depuis combien de temps vous sentez vous ainsi ? Vous avez des enfants »

Eyreen n'avait aucune idée de comment présenter les choses, elle tentait donc de les réaliser au mieux, cherchant à faire comprendre sa suspicion à son interlocutrice.

« Enchantée, je suis Triss. Je ne sais pas exactement depuis quand, sans doutes un certain temps. La ferme nous prend beaucoup de temps à mon mari et à moi ces derniers temps. La récolte a été bonne alors on a pas vraiment eût le temps de chaumer. Il a voulu m'accompagner mais j'étais certaine que c'était pas grand chose. »

La jeune femme arrêta son discours un instant. Elle semblait établi mais la petite fille ignorait si c'était un bon présage. Après tout Ira avait elle aussi un mari lorsqu'elle était tombée enceinte d'elle. Les choses n'était pas toujours ce qu'elle paraissait elle, aussi l'enfant était aussi précautionneuse que possible.
Triss  continua sa tirade après un bref moment de repos

- «  Non pas d'enfant, mais j'en aimerais bien sur. Mon mari et moi … »

Elle s’interrompit, regardant Eyreen avec des yeux ronds, elle venait semblait- il de comprendre ou la petite fille voulait en venir. Souriant elle paraissait avoir des difficultés à appréhender la situation

- «  vous en êtes sure ? Je suis enceinte. » Elle posa une main sur son ventre, le contemplant. « mon mari va être comblé. On avait essayé l'automne dernier ça avait pas vraiment marché et puis on c'est dit que ça viendrait en temps et en heure. Un bébé. Mon bébé. Merci Eyreen»

Cette jeune femme et son empressement d'être maman touchèrent la petite fille, en enfant adoptée qu'elle était. Elle savait qu'Ira avait agit pour le mieux et elle ne lui en voulait en rien, mais pour elle sa mère serait toujours Oxine.

- « je vous en pris. Je vais vous concocter un bouquet de plantes médicinales pour vous aider durant les premiers mois. Je peux vous expliquer comment les faire infuser, mais si vous avez des questions plus précise sur la grossesse, je vais vous orienter vers ma professeur. Je ne saurais pas vraiment quoi vous conseiller et elle sera bien plus à même de vous répondre. Je peux tout de même vous dire félicitation. »

Triss lui offrit un sourire complice et hocha la tête. Eyreen le lui rendit avant de se diriger vers l'objet de son attention. Elle savait ce dont elle allait avoir besoi. Elle prit le gingembre, le marjolaine et la fleur d'oranger mais quand à l'angélique et à la lavande elle ne parvint pas à les trouver.
Un jeune garçon paraissait également chercher les plantes dont il avait besoin. Brun de cheveux et de peau il avait un air des plus avenant sur le visage. Le trouvant immédiatement sympathique, Eyreen entreprit de se présenter et de lui demander, s' il n'était pas trop occupé, son aide pour qu'il lui indique l'emplacement des ingrédients qui lui faisait défaut.

«  Je te pris de m'excuser, je ne veux pas te déranger. J'ai nom Eyreen. À tout hasard sais-tu où je pourrais trouver de la lavande et de l'angélique ? J'ai parcouru l'étal plusieurs fois mais en vain »

Elle accompagna sa tirade d'un sourire timide n'étant que peu à l'aise pour entamer la conversation avec un inconnu. Mais il était tout comme elle élève et il était donc nécessaire qu'ils s'entre aide.
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Parandar
Sam 09 Sep 2017, 20:51

Bonjour !

Le RP est-il toujours d'actualité ? Sans réponse, il sera déplacé le 18 septembre dans les Archives.
Parandar
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Parandar
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