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Des nouveaux espoirs [Attribution]

Invité
Jeu 07 Avr 2016, 06:30
Il avait échoué. Lamentablement échoué. Willow avait péri sous les dents de ce foutu dragon parce qu'il n'avait pas été assez rapide, parce qu'il n'était pas digne d'être Chevalier… ni même de vivre encore. De vivre alors que sa bien-aimée, de par son incapacité, ne le pouvait plus. Il se retourna vers l'Empereur, qui avait le visage défiguré par ce sourire de cinglé. Il observa la foule, qui arborait elle aussi ce rictus dérangeant. Des rires résonnèrent dans son esprit, il pivota et vit Willow, enfin… déchiquetée, ce qu'il restait d'elle. Il recula devant cette horreur, qu'il avait lui-même causé, mais se heurta à un obstacle. Il se retourna encore et fit face à sa mère.

« Tu me déçois énormément, Keren. Je n'aurai pas du veiller sur toi. Tu es un fils indigne. FILS INDIGNE !! »

Et c'est sur ces paroles, les rires encore en écho dans l'esprit, que Keren se réveilla tout en sueur dans sa couche d'élève. Il respira bruyamment, le temps de se remettre de ses émotions. Il revêtit sa tunique de la veille et sorti de la forteresse pour s'aérer. Il soupira, essuyant la sueur de son front et marchant, calmant tant bien que mal les palpitations de son cœur encore affolé. Il regarda vers l'horizon. Le soleil commençait timidement à se montrer, colorant l'arrière des montagnes d'une douce leur orangée. Les quelques étoiles qui résistaient encore s'estompèrent peu à peu, s'effaçant du ciel qui lui, regagnait sa couleur bleutée claire. Cela faisait une demi heure qu'il contemplait l'horizon et ses frayeurs s'était envolées avec le vent qui soufflait dans ses cheveux.

En sondant le territoire, il comprit qu'il devait se dépêcher… S'il voulait être en avance pour aider, comme un bon écuyer se devait de le faire. Bien sûr, il ne savait pas encore s'il allait en devenir un et le cauchemar qui l'avait extirpé du royaume de Mila Lara en disait long sur ses craintes. Il secoua la tête et se dirigea d'abord vers la suite de ses parents. Il savait qu'il pouvait y entrer comme il le voulait, et il avait besoin de prendre la petite Azalée dans ses bras, avant qu'elle ne proteste de se retrouver avec une nounou. Il la couvrit de bisous, et lui promit qu'un jour, elle n'aurait plus besoin de nounou, mais qu'il fallait pour cela qu'elle reste sage et qu'elle écoute ce qu'on lui disait. Après cette courte entrevue, il se rendit dans les bains… Mais finit par refaire un détour par sa chambre afin de chercher une tunique propre. Keren resterait Keren, étourdi.

Il arriva enfin dans les bains – et cette fois pour de bon. Il entra dans l'eau chaude et se laissa porter par ses pensées, beaucoup moins sombre cette fois. Il pensait à Willow. A la promesse qu'il lui avait faite. Cette même promesse qui l'avait, tout le long de l'examen, pousser à ne pas abandonner malgré les obstacles qui se dressaient entre lui et sa bien-aimée… enfin, si seulement elle l'aimait aussi. Aujourd'hui était un grand jour non seulement pour sa carrière mais aussi pour son cœur, même si, il le savait, il ne devait pas se dévoiler ainsi. Pas en tant qu'écuyer. Un écuyer devait se consacrer à son apprentissage uniquement… Mais Willow était sa faiblesse. Sa plus grande faiblesse. Mais n'était-ce pas des faiblesses que l'on tirait sa force ? Keren en était persuadé. S'ils passaient tout deux écuyers, alors, après avoir rejoint leur maîtres, ils se retrouveraient en cachette… et il lui dirait. Mais comment ? Toutes ces émotions étaient si compliquées à expliquer…

L'agitation autour de lui lui rappela qu'il avait tout intérêt à se dépêcher s'il voulait encore aller aider. Il sorti de l'eau, se sécha, s'habilla, se coiffa et se rendit au Colisée. Arrivé là-bas, il alla saluer sa mère, Thaïs, puis Hel, ainsi que Janita et Hyllïna. Il proposa ensuite son aide. Après quelques minutes, tout était enfin en place et il se mit à la sienne. Willow était là, et les autres aussi. Tous prêts à attendre les discours. Hyllïna arriva sur l'estrade, ventant l'Empire, la fierté qui en découlait, l'Ordre de Chevalerie et tout le reste. Puis sur son visage, une once de dégoût se remarqua. Il n'y aurait pas de Chevalier cette génération. Tout ça parce qu'une certaine Lawra n'avait pas été capable d'achever son éducation. Heureusement pour elle, l'Empire était généreux et lui offrait une seconde chance. Ou un avertissement. Elle seule le saurait.

Puis ce fut au tour de Janita d'annoncer la couleur. Ou plutôt, les futures paires. Beurk avait apparemment… ha bah, non, en fait. Une humiliation. C'était tout ce que son demi-frère avait mérité. Cela le chagrinait, mais il devait comprendre la leçon. Nous étions l'élite. Nous étions l'avenir. Nous étions l'EMPIRE. Nous ne devions pas être faibles, pas assez bons, incompétents. Nous devions donner de notre personne, toute entière. Il décida qu'il irait le voir plus tard et écouta la suite des événements. Il entendit le nom de Willow et son cœur se serra. Non pas parce qu'elle était belle, non, il s'y était quelque peu habitué, simplement qu'il avait peur… Le fait que Beurk ait été humilié l'avait quelque peu blessé, mais il aurait du mal à encaisser l'échec de Willow. Non seulement parce qu'elle aurait été dévastée, mais aussi parce qu'il aurait du vivre avec ce fardeau que sont ces sentiments cinq ans de plus sans pouvoir lui dévoiler. Heureusement pour lui, elle avait réussi – de justesse – et elle s'était retrouvé sous la tutelle de Xillia. Il ne la connaissait que parce que son père lui avait brièvement parler de son ancienne écuyère, à qui il avait apparemment TOUT appris, mais il savait qu'elle et Willow s'était déjà rencontrées et que sa belle l'admirait, elle devait donc être heureuse.

Il entendit alors son nom, juste après. Cela l'amusa l'espace d'un instant, comme si les Dieux avaient fait tout pour que les deux amoureux se rejoignent le plus tôt possible… Ou pas. Il s'avança alors, craignant le pire. Les secondes  qui s'étaient écoulé entre la prononciation de son nom et son résultat lui parurent des heures. Mais cette torture en valait le coup. Il avait réussi. Avec des résultats plus que remarquables. Se faire complimenter ainsi par la seconde des Chevaliers n'était pas rien, d'autant plus qu'elle n'avait certainement pas le compliment facile, tout du moins ne le faisait-elle pas juste pour faire joli. Avait-il réellement impressionner ceux qui étaient là? Il n'en avait aucune idée mais à partir de ce moment là, plus rien vraiment ne comptait. Hyllïna s'avança vers lui, lui remettant sa tunique et son épée. Il soutint son regard, comprenant qu'il était désormais un écuyer et plus un simple élève. Il la suivit donc sans un mot, sans un bruit, sans la moindre protestation. Kayan avait aussi réussi et cela le rassura au plus haut point. Kayan était son jumeau, une partie de lui. Une partie toute entière. Il le regarda, lui offrant son plus beau sourire. Il était tout simplement heureux. Le reste de la cérémonie se passa dans ce même silence solennel, pourtant, au fur et à mesure, l'on pouvait ressentir les esprits s'apaiser. Il écouta attentivement Hel ainsi que sa belle-mère Thais, une certaine fierté brillant dans son regard. Il voulait qu'elle soit fière de lui. Après tout, elle était une seconde mère pour Keren et il ne voulait pas la décevoir.

Un tonnerre d'applaudissement marqua la fin de la cérémonie. Keren observa autour de lui et vit son père de diriger vers lui, Azalée dans ses bras. Il l’accueillit avec un sourire, acceptant avec modestie ses félicitations, s'inclinant à son arrivée. En regardant Azalée, il comprit ce pourquoi il devait réussir encore les épreuves que la vie lui enverrait. Il était né pour protéger, peu importe ce que Xerkh avait tenté de lui faire comprendre quelques années auparavant. Il protégerait. C'était sa force. Sa motivation. On ne le changerait pas aussi facilement. Ce qu'il ignorait encore, c'est qu'il aller devoir se protéger contre lui-même. Il avait remarqué cette part craintive des autres parfois, son envie de solitude ou parfois… De chasse. Mais il ne comprenait pas. Il se disait que peut-être, c'étaient seulement là des symptômes de transition entre l'enfance et l'adolescence, une manière différente de voir le monde. Quelque chose de provisoire, en somme. Quelque chose contre lequel il ne pouvait rien si ce n'était attendre. Bien sûr, ce n'était pas la solution à son problème. Mais ça, il l'ignorait.

Un cri l'arracha à ses pensées. Depuis combien de temps s'était-il ainsi perdu? Il n'en savait rien. Toute une meute de curieux s'était formée autour de la seconde et de… Xerkh? De là où il était, il ne pouvait pas vraiment entendre ce que ses deux supérieurs échangeaient, néanmoins il comprit que ça n’engageait pas qu'eux. Amélia et Hanaë semblaient aussi concernées. Pourquoi ? Il l'ignorait. Voulait-il savoir ? Non. Il ne comprenait pas. Janita n'était pas du genre à se laisser aller à la rage, en tout cas pas devant les plus jeunes, devant lesquels elle devait se montrer exemplaire.  Hyllïna lui fit part de ses souhaits pour le soir. Il acquiesça d'un simple geste de la tête, couplé d'un « Bien Maître » avant de la saluer poliment en s'inclinant. Il avait envie de lui dire à quel point il était fier d'avoir eu la chance d'être son apprenti, mais il aurait tout le temps plus tard.

Il était donc libre pour ce soir. Avant de rejoindre Willow, il décida de déjà poser ses affaires dans la chambre d'Hyllïna, afin de gagner du temps. Il déplaça ses affaires, une certaine nostalgie empreinte dans son regard. Des souvenirs, il en avait dans cette chambre. Des bons et des mauvais. Mais ainsi était la vie. On avançait pour construire autre chose, s'appuyant sur des bases plus ou moins solides que l'on avait déjà construite. Dans un sourire, il quitta la chambrée des élèves et se dirigea vers sa nouvelle chambre. Il n'arrivait toujours pas à croire qu'il était l'écuyer de la CHEF. Il savait qu'il allait en baver, mais il savait aussi qu'il avait été méritant, et qu'il serait capable de tenir cette formation. En passant dans les couloirs, il remarqua Beurk, qui parlait avec Imaé. Il semblait déterminé plus que jamais… Parfois c'est ce que l'échec réveillait chez certains. Il lui envoya une vague d'apaisement, afin de lui montrer tout de même qu'il était présent. Et qu'il restait son demi-frère malgré tout.

Il se dirigea donc à nouveau vers le Colisée. Ce Colisée emplit de souvenirs. Là où il avait passé cet examen qu'il l'avait porté au rang d'écuyer. Où il avait sauvé Willow. Enfin, où il avait eu l'illusion de la sauver. Tout n'avait été qu'illusion. Il chercha sa belle du regard, mais quelque chose d'autre s'imposait d'abord à lui… son frère. Il se dirigea vers Kayan et le serra contre lui.

« Je suis si fier de toi, Kayan. Avant d'être écuyer, je suis ton frère, et saches que je te soutiendrai, toujours. Si tu as des difficultés, je t'aiderai. Si tu es triste, je te ferai rire. Si tu es en colère, je serai ton défouloir. Je ne te cacherai jamais rien et je te protégerai toujours... »

Il lui tapota le dos et regarda ensuite vers Willow. Xillia semblait l'avoir libérée. Il se dirigea donc vers elle, les sens en alerte. Sa respiration s'était accélérée, et plus il se rapprochait d'elle, moins les mots lui semblaient clair dans son esprit.

« Bonjour Willow. Il semblerait qu'on ait tout les deux réussi. Je le savais qu'on pourrait le faire… Il marqua une pause. Maintenant, j'ai une promesse à tenir… Viens avec moi. »

Il lui fit signe de le suivre et se dirigea vers les vestiaires. Lorsqu'ils furent dedans, il ferma la porte à clé et la bloqua avec une barre en bois, puis il se tourna vers la blondinette.

« Ne t'en fais pas, je ne vais rien te faire, j'aimerai juste… qu'on soit tranquilles. Il y a quelques années, je t'ai fais une promesse. Aujourd'hui, je vais la tenir. Mais je vais te demander de ne pas me couper... »

Enfin, si seulement il arrivait à parler. Elle l'observait de son regard azurée, une lueur de curiosité au fond de celui-ci. Il voulait lui dire à quel point il l'avait trouvé jolie, à quel point il avait été heureux lorsqu'elle l'avait arrêté dans les couloirs, à quel point il aimait ses caresses dans les cheveux, à quel point il avait peur qu'elle cède aux charmes de quelqu'un d'autre, à quel point il avait peur de passer pour un idiot, à quel point il avait eu peur de la perdre… Mais rien, rien ne sortait de sa bouche.

Il se rapprocha de Willow, se mettant assis sur le même banc qu'elle mais en se plaçant en face.

« Je… C'est grâce à toi si j'ai pu m'en sortir à l'examen. J'avais… j'avais tellement peur de te perdre, je ne me le serai jamais pardonner. L'illusion me donnait l'impression que tu allais bientôt mourir, j'étais dans tout mes états... »

Pendant qu'il parlait, il avait rapproché sa main de celle qui faisait battre son cœur et y avait doucement glisser ses doigts, ce qui ne faisait qu'accentuer les « boum-boum » qui tapaient dans ses tempes. Plus il la regardait, plus il se sentait attiré vers elle. Instinctivement, il avait donc rapproché son visage du sien. Il pouvait sentir sa respiration s'affoler, mais il s'en fichait. Il ne savait pas comment lui dire mais il saurait lui faire comprendre. Il porta une main et caressa la joue de Willow.

« Tu es si belle…. »

Puis il l'embrassa. Un geste qui valait toutes les paroles du monde. Il avait fermé les yeux, s'abandonnant aux lèvres de Willow, un feu d'artifice dans la tête, dans le cœur. Il n'avait jamais ressenti ça, c'était incroyable. Elle ne l'avait pas repoussé, et cela le rassurait. Il prolongea encore leur baiser, jusqu'à qu'il ne puisse plus respirer puis colla son front à celui de la blonde, reprenant son souffle, attendant une réponse, une réaction.
Anonymous
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Jeu 07 Avr 2016, 17:31
Je me suis levé à l’aube. Je regardais pendant une heure, le soleil se levait. C’était magnifique. Puis je pris ma douche. Je m’habillais. Je me coiffais. Je sortis de ma chambre et je commençais à me promener sans but précis. Je pensais à Keren et a ce qu’il pouvait bien faire. Cinq ans s’étaient écoulés au silence jusqu’à aujourd’hui. J’étais stresser. C’était bientôt l’heure d’aller au Colisée. Je soupirais.

J’arrivais au Colisée. Tout le monde était là, même Keren. J’attendais les discours. Hyllïna arriva sur l’estrade et parlait de manière indulgente. La pauvre Lawra. Puis Janita s’avança et gronda Beurk devant tout le monde. Il avait redoublé. C’était une humiliation pour l'empire. J’entendais le discours de Ziéa, de Pain… Puis ce fut mon tour. Mon coeur tambourinait dans ma poitrine. On aurait dit qu’il allait exploser.

- Willow. Tes connaissances étaient bien à la limite de l’acceptable… Fort heureusement ta pratique a su te sauver. J’ose espérer que tu continues toujours d'apprendre et de t’améliorer. Pour cela tu auras la chevalière Xillia à tes côtés.

Ouf ! J’avais réussi. Je pouvais être fière de moi. J’étais aussi heureuse d’être avec Xillia. Janita me remit, ma tenue d’écuyère. J’entendais le nom de Keren. Je devais toute rouge. Je n’étais toujours pas habituée à entendre son nom. Je ne faisais plis attention à rien. Les gens applaudissaient. Je ne savais pas pourquoi ils faisaient ça, tellement, j’étais dans la lune. Dans un côté du Colisée. Un petit groupe se faisait connaître. Janita était en train de crier sur Xerkh. Je n’étais pas curieuse et je me voulais pas le savoir. Je parlais avec Xillia, mon nouveau maître pour ces cinq ans. Je vis Keren venir vers moi. Je lui souriais et en même je rigolais un peu.

- Bonjour Willow. Il semblerait qu’on ait réussi. Je le savais qu’on pourrait le faire… Il marqua une pause. Maintenant, j’ai une promesse à tenir… Viens avec moi.

Je hochais la tête. J’étais un peu gêner de le suivre comme un petit chien avec son maître. Il emmena dans les vestiaires. On entra puis il ferma la porte à clé. Il bloqua la porte avec une barre en bois puis il se tourna vers moi. J’avalais ma salive. J’avais un peu peur de ce qu’il allait me faire.

- Ne t’en fait pas, je ne vais rien te faire, j’aimerai juste… Qu’on soit tranquille. Il y a quelques années, je t’ai fait une promesse. Aujourd’hui, je vais la tenir. Mais je vais te demander de ne pas me couper…
- D’accord…

Je soupirais. J’avais eu tellement peur. Ce n’était pas ce genre de garçons à faire du mal aux filles. J’étais aussi curieuse de savoir ce qu’il voulait me dire… Il se rapprocha de moi.

- Je… C’est grâce à toi si j’ai pu m’en sortir à l’examen. J’avais… J’avais tellement peur de te perdre, je ne le serai jamais pardonner. L’illusion me donnait l’impression que tu allais bientôt mourir, j’étais dans tous mes états…

Il commença à rapprocher son visage du mien. Je détournais mon regard du sien. J’étais un peu paniqué. Il me caressa la joue. Je me sentis plus calme tout d’un coup. Il me disait que j’étais belle. Je trouvais ce mot si jolie dans la bouche d’un garçon telle que Keren même bien autres. Puis, d’un coup, il m’embrassa. Il ferma les yeux alors que moi, je l’avais écraquillé. Pourquoi je ne l’avais pas repousser, parce que je l’aimais bien. Je l’aimais beaucoup. Je fini donc par fermer les yeux puis un instant plus tard je les rouvris. Il colla son front contre le mien. Je rougissais fortement.

- Keren… Je… Ne sais pas quoi dire… Je…

Ce baiser avait été fatale. Je perdis tous mes mots. Depuis un bon moment, que je voulais lui avouer mes sentiments. C’était le moment de lui dire.

- Je…T’aime… Dis - je en marmonnant.
Anonymous
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Parandar
Ven 06 Mai 2016, 08:49
Bonjour, le sujet sera déplacé le 14 mai dans les archives. Si vous n'avez pas terminer, merci me contacter par mp.
Parandar
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Parandar
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